Petits rappels importants et mises à jour de certanes choses:
j'ai rougis les passages importants.
les controles périodiques:
-mesure de l’hémoglobinémie et calcul de l’hématocrite (pour déceler toute polyglobulie) (epaississement du sang)
-explorations fonctionnelles hépatiques (pour déceler toute hépatotoxicité associée aux androgènes 17α-alkylés);
-dosage de l’antigène prostatique spécifique (PSA) et toucher rectal, particulièrement si le patient éprouve de plus en plus de difficulté à uriner ou si ses habitudes mictionnelles sont perturbées;
-bilan lipidique (mesure des taux de cholestérol total, de LDL, de HDL et de triglycérides);
-les patients diabétiques doivent faire l’objet d’une surveillance attentive; leur dose d’insuline ou d’hypoglycémiant oral doit être ajustée en conséquence
INTERACTIONS:
Insuline :
Chez les diabétiques, les androgènes peuvent agir sur le métabolisme en abaissant la glycémie et, par conséquent, les besoins en insuline.
Propranolol (beta bloquant) :
Au cours d’une étude de pharmacocinétique portant sur un dérivé injectable de la testostérone et dont les résultats ont été publiés, l’administration de cypionate de testostérone a fait augmenter la clairance du propranolol chez la majorité des hommes.
Corticostéroïdes :
L’administration de testostérone et d’ACTH ou de corticostéroïdes peut favoriser la formation d’oedème; ces médicaments doivent donc être utilisés avec prudence, surtout en présence de maladies cardiaques, rénales ou hépatiques.
Anticoagulants : Les androgènes peuvent accroître la sensibilité aux anticoagulants oraux. Il se pourrait donc qu’on doive réduire la dose de l’anticoagulant pour conserver une hypoprothrombinémie thérapeutique satisfaisante.
INTERACTIONS herbe médicinale:
On a découvert que certains produits naturels (p. ex., le millepertuis) offerts en vente libre pourraient perturber la biotransformation des stéroïdes et ainsi abaisser la concentration plasmatique de testostérone.
DISTRIBUTION:
Dans le sérum, la testostérone circulante est principalement liée à la globuline de transport des hormones sexuelles (SHBG) et à l’albumine. La testostérone liée à l’albumine s’en dissocie aisément, et on lui attribue une action biologique. Par contre, la fraction liée à la SHBG n’est pas considérée comme biodisponible. Dans le plasma, la testostérone est liée à 40 % environ à la SHBG; 2 % de la testostérone circule librement, tandis que la portion résiduelle est liée à l’albumine ou à d’autres protéines. Les parts active et inactive de l’androgène dépendent donc de la quantité de SHBG dans le sérum et de la concentration totale de testostérone.
Excrétion:
Environ 90 % d’une dose de testostérone injectée par voie intramusculaire est excrétée dans l’urine sous forme de glucuronoconjugués et de sulfonoconjugués de la testostérone et de ses métabolites;
quelque 6 % d’une dose est excrétée dans les selles, principalement sous forme non conjuguée.
L’inactivation de la testostérone se produit principalement dans le foie.
CARCINOGENESE:
La prise prolongée de doses élevées d’androgènes 17α-alkylés (comme la méthyltestostérone) actifs après administration orale a été associée à des effets graves sur le foie (péliose hépatique, néoplasmes hépatiques, hépatite cholostatique et ictère). La péliose hépatique est une complication qui peut mettre la vie du patient en danger et même causer la mort. Le traitement de longue durée par l’énanthate de testostérone administré par voie intramusculaire, qui produit des concentrations sanguines élevées pendant de longues périodes, a causé la formation de multiples adénomes hépatiques.
Source Pfizer.
j'ai rougis les passages importants.
les controles périodiques:
-mesure de l’hémoglobinémie et calcul de l’hématocrite (pour déceler toute polyglobulie) (epaississement du sang)
-explorations fonctionnelles hépatiques (pour déceler toute hépatotoxicité associée aux androgènes 17α-alkylés);
-dosage de l’antigène prostatique spécifique (PSA) et toucher rectal, particulièrement si le patient éprouve de plus en plus de difficulté à uriner ou si ses habitudes mictionnelles sont perturbées;
-bilan lipidique (mesure des taux de cholestérol total, de LDL, de HDL et de triglycérides);
-les patients diabétiques doivent faire l’objet d’une surveillance attentive; leur dose d’insuline ou d’hypoglycémiant oral doit être ajustée en conséquence
INTERACTIONS:
Insuline :
Chez les diabétiques, les androgènes peuvent agir sur le métabolisme en abaissant la glycémie et, par conséquent, les besoins en insuline.
Propranolol (beta bloquant) :
Au cours d’une étude de pharmacocinétique portant sur un dérivé injectable de la testostérone et dont les résultats ont été publiés, l’administration de cypionate de testostérone a fait augmenter la clairance du propranolol chez la majorité des hommes.
Corticostéroïdes :
L’administration de testostérone et d’ACTH ou de corticostéroïdes peut favoriser la formation d’oedème; ces médicaments doivent donc être utilisés avec prudence, surtout en présence de maladies cardiaques, rénales ou hépatiques.
Anticoagulants : Les androgènes peuvent accroître la sensibilité aux anticoagulants oraux. Il se pourrait donc qu’on doive réduire la dose de l’anticoagulant pour conserver une hypoprothrombinémie thérapeutique satisfaisante.
INTERACTIONS herbe médicinale:
On a découvert que certains produits naturels (p. ex., le millepertuis) offerts en vente libre pourraient perturber la biotransformation des stéroïdes et ainsi abaisser la concentration plasmatique de testostérone.
DISTRIBUTION:
Dans le sérum, la testostérone circulante est principalement liée à la globuline de transport des hormones sexuelles (SHBG) et à l’albumine. La testostérone liée à l’albumine s’en dissocie aisément, et on lui attribue une action biologique. Par contre, la fraction liée à la SHBG n’est pas considérée comme biodisponible. Dans le plasma, la testostérone est liée à 40 % environ à la SHBG; 2 % de la testostérone circule librement, tandis que la portion résiduelle est liée à l’albumine ou à d’autres protéines. Les parts active et inactive de l’androgène dépendent donc de la quantité de SHBG dans le sérum et de la concentration totale de testostérone.
Excrétion:
Environ 90 % d’une dose de testostérone injectée par voie intramusculaire est excrétée dans l’urine sous forme de glucuronoconjugués et de sulfonoconjugués de la testostérone et de ses métabolites;
quelque 6 % d’une dose est excrétée dans les selles, principalement sous forme non conjuguée.
L’inactivation de la testostérone se produit principalement dans le foie.
CARCINOGENESE:
La prise prolongée de doses élevées d’androgènes 17α-alkylés (comme la méthyltestostérone) actifs après administration orale a été associée à des effets graves sur le foie (péliose hépatique, néoplasmes hépatiques, hépatite cholostatique et ictère). La péliose hépatique est une complication qui peut mettre la vie du patient en danger et même causer la mort. Le traitement de longue durée par l’énanthate de testostérone administré par voie intramusculaire, qui produit des concentrations sanguines élevées pendant de longues périodes, a causé la formation de multiples adénomes hépatiques.
Source Pfizer.