Bonjour MEM,
Tout d'abord j'aimerais brièvement présenter mon cas: je suis un homme, pratiquant la musculation depuis une année en cumulé, médecin de profession, qui va bientôt faire 25 ans, au pic soi-disant de ma sécrétion hormonal qui avoisine a l'heure actuelle 8.21 nmol/L de Testostérone Total, qui est a la borne très inférieure selon mon âge. Rajoutons a cela une pilosité peu développé et ma très grande difficulté a prendre du muscle (j'ai l'impression par exemple que mes bras n'auront jamais la largeur escompté, qu'importe l'entraînement, le cas de figure des bras de femmes.. ) => d'où ma question : combien peut-on construire de muscle avec un faible taux de testostérone ? Je commence a être convaincu, comme dans le cas de figure féminin, qu'on ne peut -par exemple- avoir un bon tour de bras sans un niveau normophysiologique de testostérone. Des arguments pertinents ou une étude qui repond a cela feront les plus grand des biens!
Mon but : partir avec les même chances que les autres, cad un niveau hormonal d'un homme de mon âge (10 voire 15 nmol/L jusqu'à 30 nmol/L) et ce pour une base durable, sans avoir a mettre ma fertilité ou axe gonadotrope en danger. En d'autres termes, mon but si je devrais opter pour une solution ou toucher a quelconque produit n'est pas une sécrétion supraphyisiologique. Une bonne normo-secretion durable me suffirait amplement. Mon but en clair est d'avoir un corps bien athlétique et en bonne santé et non un corps de bodybuilder.
Mes choix/propositions, ouvert aux suggestions :
• traiter la suspicion d'hypogonadisme, pour élever la testostéronemie à un niveau normo-physiologique durable. Choix: - Enanthate toute les 2 semaines est-il une solution envisageable ? Des arguments pour ou contre ?
- Une anti-aromatase (PCT) même sans cycle auparavant, peut-il avoir moins de danger au long terme? Un letrozole peut provoquer des problèmes d'humeur ou d'ostéoporose mais ne serait-il pas contrecarrer par l'élévation de la sécrétion de Testostérone ENDOGÈNE ?
- Un cycle simple de 8 à 10 semaines puis une PCT, je crains dans ce cas; 1 le cercle vicieux (répétitions de cycles) 2 de bousiller l'axe gonadotrope central a cause des pics supraphyisiologique et l'augmentation exogènes qui risque d'inhiber l'endogene durablement.
- tout autre proposition pour atteindre le but cité en haut.
Un grand merci a ceux qui prendront le temps de me lire et de me répondre. Votre forum est une richesse. Excellente journée à tous !
Tout d'abord j'aimerais brièvement présenter mon cas: je suis un homme, pratiquant la musculation depuis une année en cumulé, médecin de profession, qui va bientôt faire 25 ans, au pic soi-disant de ma sécrétion hormonal qui avoisine a l'heure actuelle 8.21 nmol/L de Testostérone Total, qui est a la borne très inférieure selon mon âge. Rajoutons a cela une pilosité peu développé et ma très grande difficulté a prendre du muscle (j'ai l'impression par exemple que mes bras n'auront jamais la largeur escompté, qu'importe l'entraînement, le cas de figure des bras de femmes.. ) => d'où ma question : combien peut-on construire de muscle avec un faible taux de testostérone ? Je commence a être convaincu, comme dans le cas de figure féminin, qu'on ne peut -par exemple- avoir un bon tour de bras sans un niveau normophysiologique de testostérone. Des arguments pertinents ou une étude qui repond a cela feront les plus grand des biens!
Mon but : partir avec les même chances que les autres, cad un niveau hormonal d'un homme de mon âge (10 voire 15 nmol/L jusqu'à 30 nmol/L) et ce pour une base durable, sans avoir a mettre ma fertilité ou axe gonadotrope en danger. En d'autres termes, mon but si je devrais opter pour une solution ou toucher a quelconque produit n'est pas une sécrétion supraphyisiologique. Une bonne normo-secretion durable me suffirait amplement. Mon but en clair est d'avoir un corps bien athlétique et en bonne santé et non un corps de bodybuilder.
Mes choix/propositions, ouvert aux suggestions :
• traiter la suspicion d'hypogonadisme, pour élever la testostéronemie à un niveau normo-physiologique durable. Choix: - Enanthate toute les 2 semaines est-il une solution envisageable ? Des arguments pour ou contre ?
- Une anti-aromatase (PCT) même sans cycle auparavant, peut-il avoir moins de danger au long terme? Un letrozole peut provoquer des problèmes d'humeur ou d'ostéoporose mais ne serait-il pas contrecarrer par l'élévation de la sécrétion de Testostérone ENDOGÈNE ?
- Un cycle simple de 8 à 10 semaines puis une PCT, je crains dans ce cas; 1 le cercle vicieux (répétitions de cycles) 2 de bousiller l'axe gonadotrope central a cause des pics supraphyisiologique et l'augmentation exogènes qui risque d'inhiber l'endogene durablement.
- tout autre proposition pour atteindre le but cité en haut.
Un grand merci a ceux qui prendront le temps de me lire et de me répondre. Votre forum est une richesse. Excellente journée à tous !