Créatine et syndrome de fatigue chronique
Des chercheurs ont récemment établi un lien entre la créatine et une augmentation de l’énergie métabolique. Cette découverte pourrait être utile dans l’exploration de l’origine du syndrome de fatigue chronique, une maladie entraînant une extrême fatigue physique et morale.
Huit hommes et huit femmes ont reçu de la créatine ou un placebo quatre fois par jour pendant cinq jours avant de pratiquer une session d’exercice physique brève et/ou exténuante. La phosphocréatine des muscles squelettiques, la créatine libre, le rapport phosphocréatine sur créatine, l’adénosine diphosphate et le pH ont été mesurés à la fin des sessions et les proportions de resynthèse de la phosphocréatine ont été déterminées au cours de la récupération.
Les scientifiques ont commenté ainsi les résultats :
«Nous avons constaté que, chez des sujets normaux, la créatine affecte les mitochondries – les parties des cellules produisant l’énergie nécessaire au fonctionnement biologique. Maintenant que nous avons établi cette donnée de base, nous allons regarder le lien existant entre la créatine et la production d’énergie chez des patients atteints du syndrome de fatigue chronique. De récentes études ont montré qu’en plus d’améliorer le fonctionnement métabolique musculaire, une supplémentation en créatine pourrait également stimuler le fonctionnement du système nerveux. La fatigue cognitive étant un symptôme fréquent du syndrome de fatigue chronique, nous pensons que la créatine pourrait renforcer le statut métabolique musculaire et neurologique de personnes atteintes de cette maladie
Des chercheurs ont récemment établi un lien entre la créatine et une augmentation de l’énergie métabolique. Cette découverte pourrait être utile dans l’exploration de l’origine du syndrome de fatigue chronique, une maladie entraînant une extrême fatigue physique et morale.
Huit hommes et huit femmes ont reçu de la créatine ou un placebo quatre fois par jour pendant cinq jours avant de pratiquer une session d’exercice physique brève et/ou exténuante. La phosphocréatine des muscles squelettiques, la créatine libre, le rapport phosphocréatine sur créatine, l’adénosine diphosphate et le pH ont été mesurés à la fin des sessions et les proportions de resynthèse de la phosphocréatine ont été déterminées au cours de la récupération.
Les scientifiques ont commenté ainsi les résultats :
«Nous avons constaté que, chez des sujets normaux, la créatine affecte les mitochondries – les parties des cellules produisant l’énergie nécessaire au fonctionnement biologique. Maintenant que nous avons établi cette donnée de base, nous allons regarder le lien existant entre la créatine et la production d’énergie chez des patients atteints du syndrome de fatigue chronique. De récentes études ont montré qu’en plus d’améliorer le fonctionnement métabolique musculaire, une supplémentation en créatine pourrait également stimuler le fonctionnement du système nerveux. La fatigue cognitive étant un symptôme fréquent du syndrome de fatigue chronique, nous pensons que la créatine pourrait renforcer le statut métabolique musculaire et neurologique de personnes atteintes de cette maladie