Des doses élevées d’HGH peuvent nuire à la récupération

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Salut à tous !



Je suis nouveau ici, mais j’aimerais partager quelques réflexions sur l’HGH (hormone de croissance humaine), en particulier dans le contexte de la récupération — et sur le fait que des dosages inadaptés peuvent en réalité ralentir la guérison plutôt que la favoriser.



On dit souvent que l’HGH aide à la récupération — que ce soit dans le sport ou après une blessure — et c’est vrai.

Mais comme dans tout domaine, il y a des règles à respecter :)


Lorsqu’elle est mal utilisée, en particulier dans le cadre d’une thérapie régénérative, d’une préparation physique ou d’une rééducation, l’HGH peut retarder la récupération, voire aggraver la situation.



Pourquoi ? Parce que nous sommes tous différents — avec des antécédents, des déséquilibres et des besoins uniques qui doivent être pris en compte lors de l’utilisation de l’HGH et de l’élaboration du protocole adapté.


L’un des aspects les plus importants concerne le métabolisme, en particulier la régulation de l’insuline et du glucose.

L’HGH augmente le niveau d’IGF-1 (facteur de croissance analogue à l’insuline), ce qui — s’il n’est pas bien géré — peut perturber la glycémie.

Associé à une alimentation mal adaptée, cela peut entraîner des inflammations dues à un taux de glucose élevé.


Et voici le paradoxe : l’HGH nécessite un apport en glucides bien structuré pour fournir de l’énergie et de la force, mais le type et le moment de consommation doivent être bien planifiés pour éviter un dérèglement hormonal.

Ce n’est pas aussi simple qu’on pourrait le croire.


Autre point important : le cortisol.

L’HGH stimule fortement les glandes surrénales, ce qui augmente la production de cortisol. Cela peut entraîner de l’insomnie, de l’irritabilité, des troubles de l’humeur, et le corps, en réponse, augmente la prolactine pour se protéger.

Malheureusement — dans ce combat, vous ne gagnez pas :)


C’est d’ailleurs une raison fréquente de dysfonction érectile chez certains utilisateurs d’HGH — une prolactine trop élevée déséquilibre le système hormonal, réduit la testostérone, ce qui fait également chuter l’œstradiol.

Or, l’œstradiol est essentiel à la formation des tissus conjonctifs, donc au lieu de favoriser la régénération, on peut en fait se nuire.


Autre sujet crucial : le système immunitaire, et ce que j’appelle la "sainte trinité" : thyroïde, pancréas et foie.


J’ai déjà parlé du pancréas et de l’insulino-résistance.


La thyroïde souffre également sous l’effet de l’HGH, d’où l’importance d’une alimentation équilibrée, même à faible dose, pour maintenir son bon fonctionnement.


Et le foie, enfin — l’HGH doit y être métabolisée pour pouvoir augmenter efficacement l’IGF-1, l’agent clé de la régénération.

Beaucoup disent : « l’HGH ne fonctionne pas sur moi », et en réalité, ils souffrent d’insulino-résistance ou de diabète. Dans ce cas, l’utilisation d’HGH doit être très limitée ou micro-dosée.


Sans un foie en bonne santé, vous perdrez tous les bénéfices potentiels de l’HGH — et vous ajouterez un stress supplémentaire à votre organisme.


C’est pourquoi prendre soin de son foie est essentiel — pas seulement dans ce contexte, mais en général.


Concernant les dosages — il n’existe aucune “dose sûre universelle”.

Une personne peut ressentir des effets négatifs dès 2 UI, alors qu’une autre tolérera 4 à 5 UI sans problème.

Tout dépend de votre état de santé, équilibre hormonal et condition physique générale.


Le dosage doit toujours être individualisé, car l’HGH est un composé formidable — à condition de bien le comprendre et de l’utiliser correctement.


Bon, je me suis un peu emporté

Mais si vous avez trouvé ça intéressant ou utile, faites-le moi savoir — je pourrais partager d’autres infos prochainement.

Et sinon — aucun souci


Cordialement,

USP
 
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