masquerade68
Banni
Bonjour
Voilà après une petite absence je reviens pour comment dire... « Jeter un pavé dans la mare ».
Le sujet sur lequel j’aimerais que l’on s’attarde c’est l’utilisation du clomid pas seulement après une cure mais pendant et dans la suite d’une cure.
A ma connaissance c'est la première fois que cette utilisation du clomid est proposé. ( mais je peux me tromper...)
Ça fait plus de 1 an et 8 mois que je parcours ce forum en large et en travers et comme nous tous j’avais intégré l’utilisation du clomid en PTC après une cure que ce soit simple testostérone ou avec d’autres ass injectable ou oraux.
Je ne suis pas toujours du genre à prendre les choses sans essayer de comprendre le pourquoi du comment.
Et j’ai lu du coup pas mal d’article sur le clomid, a noter au passage un très bon article rapporter a notre connaissance par Raptor : Clomid bien plus qu’un serm.
Quelle est la raison de l’utilisation du clomid en PTC ?
C’est son puissant effet de relancer l’activité de l’axe hypothalamus/ hypophyse/ gonades avec une production endogène du FSH et LH qui vont à leur tour agir au niveau testiculaire pour maintenir à la fois la production de sperme et la sécrétion de la testostérone.
Au jour d’aujourd’hui on part du principe que pour que le clomid puisse agir il faut attendre un certaine délai entre la fin de la cure et le début de prise de clomid.
Délai qui varie entre 2 à 3 semaines le plus souvent en fonction des produits utiliser et de leur demi-vie.
Du coup l’organisme va se retrouver dans un état de baisse progressive de la testostérone exogène, puis une étape plus ou moins longue sans aucun apport d’hormones anabolique puis une reprise progressive de la production endogène de la testostérone engendré par l’action du clomid.
Et on sait très bien, il n’y a qu’à regarder les témoignages des gens de ce forum, que cette période de transition est très difficile à vivre avec un risque accru de perte des gains musculaire durement gagné pendant la cure, une baisse des performances, avec une baisse du moral, du libido et j’en passe…
A ce propos, on dit souvent « la diète et le training ! », mais je pense qu’il faut regarder les choses en face, l’organisme avec le meilleur apport en protéines et calories, sans le support hormonal anabolique, la testostérone, il ne pourra jamais pouvoir entretenir et encore moins développer la masse musculaire.
Qui ne rêverait de pouvoir faire la cure qu’il veut tout en gardant son axe actif, ne pas passer par cette période de disette hormonale en fin de cure et pouvoir garder un maximum des gains musculaire ?
Le déclic ça a été en lisant pour la 2-ième ou 3-ième fois l’article de Raptor y a une phrase qui ma interpeller : le Clomid "fait croire" à l'hypothalamus et surtout l'hypophyse qu'il n'y a plus d'œstrogène dans le sang. L'hypophyse va donc réagir en produisant d'avantages de gonadotrophines (LH et FSH) et ainsi, booster la production de Testostérone endogène.
Tiens donc, l’hypothalamus et surtout l’hypophyse vont réagir non pas en fonctions des taux de testostérone et œstradiol dans le sang mais de ce que le clomid le fait croire c’est-à-dire que l’organisme est en manque d’œstrogènes.
Voilà il ne reste qu’à vérifier si la prise de clomid pendant qu’on est sous testostérone endogène peut véritablement faire fonctionner l’hypothalamus et l’hypophyse et ainsi obtenir une production endogène de FSH et LH et du coup relancer la production testiculaire de la testostérone.
Oui mais comment faire la ? Bah le plus simple c’est de l’expérimenter sur soi-même.
Et ça tombe bien car les conditions sont réunies. Concernant ma cure je vais peut-être faire un poste a part, ici je vais juste mentionner ce qui m’est nécessaire pour faire comprendre mon raisonnement.
Donc suite à une décision personnelle mûrement réfléchi je suis sous testostérone depuis le mois de mai 2013 en raison de 500mg/semaine le mois de mai puis 750/semaine juin, juillet et aout.
Depuis le début de ce état ON j’ai dû faire a ce jours à 9 bilans sanguins, des bilans assez complet, mais surtout avec un suivi de la testostérone du FSH et LH, œstradiol entre autre.
J’ai décidé de prendre un cp de clomid 50 mg / jour à partir du mi-août, dans le but de voir si malgré les 750mg/semaine de testostérone, le clomid est capable de relancer la production de FSH et LH donc de remettre l’axe sur les rails.
Les valeurs de départ, en avril : FSH 10mUI/ml, valeurs usuelles 1.4-18.2 ; LH 2.5mUi/ml (1.5-9.3) ; œstradiol 20.7pg/ml (inf. a 39.8) ; testostérone totale 9.9nmol/l (8.6-29.0), libre 24.1pmol/l (30.1-189.8).
Fin juin FSH 0.4mUi/ml, LH -0.07mUi/ml, testostérone totale +52.0nmol/l libre +300.0pmol/l.
Le 19/09/2013, après un mois de clomid a 50 mg/j, FSH 1.6mUi/ml valeurs usuelles : 1.4-18.2 ; LH -0.07mUi/ml, œstradiol 178.7pg/ml (j’avais volontairement diminué l’arimidex a 0.10 mg/j pour voir les taux ou ça peut monter l’estrogène et quel ressenti j’ai a ces taux, expérience perso) testostérone totale +52.0nmol/l, libre +300.0 pmol/l, bio disponible 35.8nmol/l.
Donc, malgré des taux assez élevé de testostérone et œstradiol, un cp de clomid de 50mg/j a pu relancer la production de FSH au-delà de la limite inférieure de la normale en seulement un mois.
Mais dans cette petite expérience je n’étais que sous testostérone. D’où la 2-ième phase, sur 2 mois,que je viens de débuter, je vais prendre un mois 1 cp de clomid 50mg/j et le 2-ième mois 100 mg/j pour voir si le clomid peut relancer la production de FSH LH en présence pas seulement de la testostérone mais aussi de la nandrolone (très suppressive) et du turinabol.
Donc à ce jour j’ai la preuve que pour des cures sous testostérone seule la prise du clomid pendant la cure garde l’axe hypotalamo-hypophysaire actif avec une sécrétion endogène du FSH.
Maintenant, ce que ça va donner la prise sur 2 mois de clomid avec la testostérone, nandrolone et turinabol, je vous tiendrai au courant le temps venu.
Bien sûr, pour la prise de clomid a moyen voir longue terme, il en faut tenir compte des effets secondaires du clomid, qui sont apriori dose dépendante, il n’y a pas à ce jour d’étude démontrant la dangerosité ou l’innocuité du clomid sur l’organisme sur une prise à longue terme, et a mon avis on peut attendre un bon moment…
A ce jour dans mes lectures sur le net, le clomid, étant un sarm, n’interfère a aucun moment avec l’activité de la testostérone, il en stimule même la production, il pourrait par contre avoir un effet sur le SHBG. Je vais le voir sur les prochaines analyses.
En conclusion la prise du clomid dès le premier jour d’une cure de testostérone et même avec en plus d’autre produits, et essentielle au maintiens de l’activité de l’axe hypotalamo-hypophysaire, en gardant une sécrétion endogène de FSH, peut-être LH, au maintiens de la fonction testiculaire avec une sécrétion endogène de la testostérone. La prise du clomid devrait continuer sans discontinuer jusqu’à la reprise d’une activité naturelle de l’axe.
C’est la solution pour éviter le clash hormonal en fin de cure que, malheureusement, tant de gens connaisse.
Quand arrêter le clomid ? Je pense qu’on devrait se fier aux résultats sanguins, pour ma part tant que la production naturelle de FSH et LH n’est pas aux niveaux de la normale, il faut continuer le clomid par intermittence. Je m’explique, disons à la fin d’une cure on continue le clomid sur 3 semaines, on l’arrête 1 semaine, on fait à ce moment-là une prise de sang, et en attendant les résultats on reprend le clomid sur une semaine. Si les résultats sont bon on peut arrêter si non on continue le clomid par une semaine en alternance jusqu’à ce que les résultats soit bons.
Petit rappel: je le dis quand même, toute utilisation d'un médicament doit se faire sous contrôle médical et dans la limite des préconisations du fabricant en respectant l'AMM du médicament. Toute autre utilisation reste sous votre propre responsabilité.
Merci de m’avoir lu.
Voilà après une petite absence je reviens pour comment dire... « Jeter un pavé dans la mare ».
Le sujet sur lequel j’aimerais que l’on s’attarde c’est l’utilisation du clomid pas seulement après une cure mais pendant et dans la suite d’une cure.
A ma connaissance c'est la première fois que cette utilisation du clomid est proposé. ( mais je peux me tromper...)
Ça fait plus de 1 an et 8 mois que je parcours ce forum en large et en travers et comme nous tous j’avais intégré l’utilisation du clomid en PTC après une cure que ce soit simple testostérone ou avec d’autres ass injectable ou oraux.
Je ne suis pas toujours du genre à prendre les choses sans essayer de comprendre le pourquoi du comment.
Et j’ai lu du coup pas mal d’article sur le clomid, a noter au passage un très bon article rapporter a notre connaissance par Raptor : Clomid bien plus qu’un serm.
Quelle est la raison de l’utilisation du clomid en PTC ?
C’est son puissant effet de relancer l’activité de l’axe hypothalamus/ hypophyse/ gonades avec une production endogène du FSH et LH qui vont à leur tour agir au niveau testiculaire pour maintenir à la fois la production de sperme et la sécrétion de la testostérone.
Au jour d’aujourd’hui on part du principe que pour que le clomid puisse agir il faut attendre un certaine délai entre la fin de la cure et le début de prise de clomid.
Délai qui varie entre 2 à 3 semaines le plus souvent en fonction des produits utiliser et de leur demi-vie.
Du coup l’organisme va se retrouver dans un état de baisse progressive de la testostérone exogène, puis une étape plus ou moins longue sans aucun apport d’hormones anabolique puis une reprise progressive de la production endogène de la testostérone engendré par l’action du clomid.
Et on sait très bien, il n’y a qu’à regarder les témoignages des gens de ce forum, que cette période de transition est très difficile à vivre avec un risque accru de perte des gains musculaire durement gagné pendant la cure, une baisse des performances, avec une baisse du moral, du libido et j’en passe…
A ce propos, on dit souvent « la diète et le training ! », mais je pense qu’il faut regarder les choses en face, l’organisme avec le meilleur apport en protéines et calories, sans le support hormonal anabolique, la testostérone, il ne pourra jamais pouvoir entretenir et encore moins développer la masse musculaire.
Qui ne rêverait de pouvoir faire la cure qu’il veut tout en gardant son axe actif, ne pas passer par cette période de disette hormonale en fin de cure et pouvoir garder un maximum des gains musculaire ?
Le déclic ça a été en lisant pour la 2-ième ou 3-ième fois l’article de Raptor y a une phrase qui ma interpeller : le Clomid "fait croire" à l'hypothalamus et surtout l'hypophyse qu'il n'y a plus d'œstrogène dans le sang. L'hypophyse va donc réagir en produisant d'avantages de gonadotrophines (LH et FSH) et ainsi, booster la production de Testostérone endogène.
Tiens donc, l’hypothalamus et surtout l’hypophyse vont réagir non pas en fonctions des taux de testostérone et œstradiol dans le sang mais de ce que le clomid le fait croire c’est-à-dire que l’organisme est en manque d’œstrogènes.
Voilà il ne reste qu’à vérifier si la prise de clomid pendant qu’on est sous testostérone endogène peut véritablement faire fonctionner l’hypothalamus et l’hypophyse et ainsi obtenir une production endogène de FSH et LH et du coup relancer la production testiculaire de la testostérone.
Oui mais comment faire la ? Bah le plus simple c’est de l’expérimenter sur soi-même.
Et ça tombe bien car les conditions sont réunies. Concernant ma cure je vais peut-être faire un poste a part, ici je vais juste mentionner ce qui m’est nécessaire pour faire comprendre mon raisonnement.
Donc suite à une décision personnelle mûrement réfléchi je suis sous testostérone depuis le mois de mai 2013 en raison de 500mg/semaine le mois de mai puis 750/semaine juin, juillet et aout.
Depuis le début de ce état ON j’ai dû faire a ce jours à 9 bilans sanguins, des bilans assez complet, mais surtout avec un suivi de la testostérone du FSH et LH, œstradiol entre autre.
J’ai décidé de prendre un cp de clomid 50 mg / jour à partir du mi-août, dans le but de voir si malgré les 750mg/semaine de testostérone, le clomid est capable de relancer la production de FSH et LH donc de remettre l’axe sur les rails.
Les valeurs de départ, en avril : FSH 10mUI/ml, valeurs usuelles 1.4-18.2 ; LH 2.5mUi/ml (1.5-9.3) ; œstradiol 20.7pg/ml (inf. a 39.8) ; testostérone totale 9.9nmol/l (8.6-29.0), libre 24.1pmol/l (30.1-189.8).
Fin juin FSH 0.4mUi/ml, LH -0.07mUi/ml, testostérone totale +52.0nmol/l libre +300.0pmol/l.
Le 19/09/2013, après un mois de clomid a 50 mg/j, FSH 1.6mUi/ml valeurs usuelles : 1.4-18.2 ; LH -0.07mUi/ml, œstradiol 178.7pg/ml (j’avais volontairement diminué l’arimidex a 0.10 mg/j pour voir les taux ou ça peut monter l’estrogène et quel ressenti j’ai a ces taux, expérience perso) testostérone totale +52.0nmol/l, libre +300.0 pmol/l, bio disponible 35.8nmol/l.
Donc, malgré des taux assez élevé de testostérone et œstradiol, un cp de clomid de 50mg/j a pu relancer la production de FSH au-delà de la limite inférieure de la normale en seulement un mois.
Mais dans cette petite expérience je n’étais que sous testostérone. D’où la 2-ième phase, sur 2 mois,que je viens de débuter, je vais prendre un mois 1 cp de clomid 50mg/j et le 2-ième mois 100 mg/j pour voir si le clomid peut relancer la production de FSH LH en présence pas seulement de la testostérone mais aussi de la nandrolone (très suppressive) et du turinabol.
Donc à ce jour j’ai la preuve que pour des cures sous testostérone seule la prise du clomid pendant la cure garde l’axe hypotalamo-hypophysaire actif avec une sécrétion endogène du FSH.
Maintenant, ce que ça va donner la prise sur 2 mois de clomid avec la testostérone, nandrolone et turinabol, je vous tiendrai au courant le temps venu.
Bien sûr, pour la prise de clomid a moyen voir longue terme, il en faut tenir compte des effets secondaires du clomid, qui sont apriori dose dépendante, il n’y a pas à ce jour d’étude démontrant la dangerosité ou l’innocuité du clomid sur l’organisme sur une prise à longue terme, et a mon avis on peut attendre un bon moment…
A ce jour dans mes lectures sur le net, le clomid, étant un sarm, n’interfère a aucun moment avec l’activité de la testostérone, il en stimule même la production, il pourrait par contre avoir un effet sur le SHBG. Je vais le voir sur les prochaines analyses.
En conclusion la prise du clomid dès le premier jour d’une cure de testostérone et même avec en plus d’autre produits, et essentielle au maintiens de l’activité de l’axe hypotalamo-hypophysaire, en gardant une sécrétion endogène de FSH, peut-être LH, au maintiens de la fonction testiculaire avec une sécrétion endogène de la testostérone. La prise du clomid devrait continuer sans discontinuer jusqu’à la reprise d’une activité naturelle de l’axe.
C’est la solution pour éviter le clash hormonal en fin de cure que, malheureusement, tant de gens connaisse.
Quand arrêter le clomid ? Je pense qu’on devrait se fier aux résultats sanguins, pour ma part tant que la production naturelle de FSH et LH n’est pas aux niveaux de la normale, il faut continuer le clomid par intermittence. Je m’explique, disons à la fin d’une cure on continue le clomid sur 3 semaines, on l’arrête 1 semaine, on fait à ce moment-là une prise de sang, et en attendant les résultats on reprend le clomid sur une semaine. Si les résultats sont bon on peut arrêter si non on continue le clomid par une semaine en alternance jusqu’à ce que les résultats soit bons.
Petit rappel: je le dis quand même, toute utilisation d'un médicament doit se faire sous contrôle médical et dans la limite des préconisations du fabricant en respectant l'AMM du médicament. Toute autre utilisation reste sous votre propre responsabilité.
Merci de m’avoir lu.