entrainement: planification ou au feeling?

planification ou au feeling?

  • planification

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  • au feeling

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barbarrian

bodybuilder
Membre du Staff
supermodo
Re : entrainement: planification ou au feeling?

m'entrainant chez moi tout est planifier seul l'intensité change les jours de forme ou de méforme
 

kalimero

KALIKENOBI Neurotyping 2A secondaire fort 2B
Membre du Staff
supermodo
Re : entrainement: planification ou au feeling?

aujourd'hui je dirais les deux ,

planification pour la base ,felling apres tout au long de la seance.
 
I

invité

Re : entrainement: planification ou au feeling?

je pense qu'il est necessaire de planifier son training en fonction de ce que l'on recherche ,,je me suis entrainé pendant des années en me basant sur le feeling et je m'aperçois que c'etait une erreur ,,on tombe vite dans une routine sans s'en appercevoir ,on accumule les series ,les reps sans savoir pourquoi ,et le resultat est que l'entrainement devient contre proiductif ,,on realise un gros volume d'entrainement mais pas avec la durete et l'intensite suffisante ,
maintenant que je planifie mon training je sais exactement ce que je dois faire ,nombre de series ,nombre de reps ,pois utilisés ,temps de repos ,,cela me fixe un but ,un challenge que je me dois de respecter ,,ça fait une enorme difference et de plus c'est plus plaisant et moins ennuyeux

c'est ce que je réalise en ce moment. je stagne depuis que je ne planifie plus rien alors qu'avant tout était consigné, du coup je voyais tout de suite d'une séance a l'autre si je progressais ou si je stagnais voir régréssais. J'y pensais toute la journée et je cherchais une solution. Je voyais aussi bien clairement les points faibles et j'arrivais à me forcer a bosser mes points faibles, dumoins j'en avais conscience plus précisément.

Normalement d'ici peu un coach de la salle avec qui je m'entend bien va me faire un programme progressif sur 2 mois ce qui me permettra de renouer avec un plan bien construit au lieu des scéances au feeling que je fais en ce moment. Je compte vraiment la dessus pour bien réaliser la différence qu'il y-a entre ces deux façons d'aborder les choses.
 

joe-mombassa

membre approuvé
Je me suis toujours entraîné en planifiant au maximum mes séances.
Mais cela vient beaucoup du fait que j'ai pratiqué d'autres sports en competition, principalement d'endurance, qui nécessitent impérativement une bonne planification pour réussir.

Pour moi, les principaux avantages de la planification sont d'avoir un objectif clair lorsqu'on va s'entraîner (donc source de motivation et de progrès), d'avoir le training le plus efficace possible (on fait pas "par erreur" ou "négligence" quelque chose de contre productif, du moins les chances sont plus limitées) et de pouvoir objectivement suivre ses progrès

Je planifie:
- d'abord à long terme, soit sur la saison avec plusieurs objectifs, soit sur au moins les 6 mois à venir (sachant que 6 mois ça passe vite, et que si on ne prévoit pas suffisamment a l'avance, impossible de se préparer spécifiquement et convenablement)
- puis l'enchaînement de mes macrocycles (ex: période avec plus ou moins de volume, avec renforcement d'un point faible, ou visant la force max/la puissance, etc) pour prévoir une "montée en puissance" vers cet objectif
- mes mesocycles: en gros, l'enchaînement des semaines et quand placer une semaine de récupération, etc
- a court terme (séances)

Après, je pense qu'il est quand même important d'être capable d'adapter "au feeling" si par exemple je suis fatigué...
Mais dans ce cas là je re planifie aussi ce qui en découle. :p
 

joe-mombassa

membre approuvé
Avez-vous déjà tenté ces 2 méthodes afin de voir celle qui réussit le mieux sur votre physique et votre performance?
J'ai déjà essayé et mon niveau était à ce moment là très limité, sûrement par manque de cohérence de l'ensemble et par l'absence d'un bon objectif clair.

Ceci dit, j'ai un ami, qui était lui beaucoup plus fort que moi, et ne planifiait que dans les grandes lignes (disons au mois près).
La raison est qu'il n'arrivait pas à s'entraîner avec un plan précis, qu'il jugeait trop ennuyeux. Donc il enchaînait plus ou moins selon l'humeur et les sensations.
 
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