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HMG (human menopausal gonadotropin)
La gonadotrophine ménopausique humaine est un médicament créé pour le traitement du trouble de l’infertilité chez l’humain.
La demie vie du médicament est d’environ 32 heures.
Pendant des années, les culturistes ont utilisés l'HCG pour démarrer leur LAPHT après un cycle. Il y a encore beaucoup de débat quant à la façon dont il doit être utilisé, mais pour des raisons de simplicités nous dirons qu'il doit être administré une fois que les testicules montrent des signes d'atrophie, ou, d’une meilleur façon au cour d’un cycle d’AAS avant que l'atrophie ne se produise.
Cela est logique puisque, contrairement à la croyance populaire, l'HCG (et l'HMG ) ne font pas "relancer" ou "récupérer" quoi que ce soit. Ils ne rétablissent pas les niveaux de testostérone de façon permanente et ils ne garantissent pas que la production soit de retour à la normale. Ils donnent tout simplement un coup de pouce temporaire qui peut être extrêmement utile lorsque son système hormonal a été supprimé et tente de revenir à la normale. C'est un peu une "longueur d'avance" sur la reprise, mais à un moment, le corps doit produire des hormones de lui-même, sinon, il ne peut pas y avoir de reprise, c'est juste la substitution d'un médicament pour un autre.
L'écart le plus important réside dans le fait que l'HCG imite la LH (hormone lutéinisante). Il donne au corps un faux signale de présence de la LH et tout le reste réagit en conséquence. L'HMG élève quant à lui la LH naturelle (faits relatés dans la littérature underground). Il est vraisemblablement plus juste de constater qu’il s’agit en fait d’un mix de LH et de FSH.
Maintenant, pour certains, il y a peu de différence, mais il est toujours mieux pour le corps de réagir de manière naturelle quand on tente un retour à la normale. Il y a aussi moins de chance de créer une intolérance lorsque l’on fait ceci.
Dans le cas de l'HCG, l’intolérance se développe assez rapidement. La nature est assez pointue, vous pourrez la tromper quelques fois, mais après un moment, elle refuse de coopérer. C'est pourquoi l'utilisation excessive de l'HCG n'est pas recommandée. Une utilisation à haute doses sur une période prolongée engendrera une désensibilisation des cellules de Leydig.
L’effet moins suppressif de l’HMG reste cependant spéculatif.
De manière plus ou moins empirique, on estime que l'HMG provoquerai un moindre pic d'œstrogènes. L'utilisation de l'HMG en bodybuilding est si récente qu'il n’y a pas suffisamment de recul pour affirmer ces éléments.
Une différence absolue entre les deux composés est le fait que la HMG auguement la FSH (hormone folliculo-stimulante) et que l'HCG ne le fait pas. Encore une fois, ceci est dû au fait que l'HCG fonctionne de manière synthétique et que l'HMG stimule la boucle de réaction entière. Ceci est particulièrement intéressant car une augmentation de la FSH signifie un plus grand nombre de spermatozoïdes et un plus gros volume d’éjaculation.
Dosage:
Bien que l’utilisation de HMG soit relativement récente dans le milieu du bodybuilding, il y a déjà des idées reçues entourant son utilisation. Les gens ne réalisent pas que les doses recommandées dans la littérature sont déterminées dans le but de stimuler la fertilité chez la femme.
Pour une utilisation masculine et sportive, une dose beaucoup plus faible est nécessaire. Une seule dose de 75 UI peut être tout à fait suffisante. (Cette dose pourrait même être réduite de moitié et administrée sur deux jours). Lors de cycles d’AAS certains prennent deux prises de 75 UI de HMG par semaine, couplé à de faibles doses d’HCG pour maintenir l’activité testiculaire en éveil.
De rares cas d’utilisation de HMG à des dosages de 150 UI/Jours sur une période d’une semaine ont été recensés, lors de troubles plus sévères suite à de longs cycles d’AAS.
L’administration de doses plus élevées n’augmentera probablement pas plus les niveaux de testostérone, quant à une augmentation du volume des testicules supérieurs à des valeurs normales, il ne faut même pas y penser.
L'HMG et l'HCG semblent pouvoir être utilisés conjointement.
Idéalement, il ressort que l’HMG devrait être utilisé avec l'HCG et non pas à la place de celui-ci. Cela créant un effet de synergie. Vous pouvez donc utiliser moins de HCG tout en maintenant la production de sperme par la FSH (hormone folliculo-stimulante).
Appréciation:
Les commentaires sur l’utilisation d’HMG sont très positifs. Il semble fonctionner au moins aussi bien que HCG et la plupart des utilisateurs en tirent de meilleurs bénéfices. Jusqu'à ce qu’il y ai une meilleur connaissance de l'HMG, il peut être préférable d'alterner HCG et HMG. Cela peut également avoir l’avantage supplémentaire de réduire les effets de désensibilisation de l'HCG.
Sources : bodybuilding elitefitness, hoffmann novagenics hormon report
La gonadotrophine ménopausique humaine est un médicament créé pour le traitement du trouble de l’infertilité chez l’humain.
La demie vie du médicament est d’environ 32 heures.
Pendant des années, les culturistes ont utilisés l'HCG pour démarrer leur LAPHT après un cycle. Il y a encore beaucoup de débat quant à la façon dont il doit être utilisé, mais pour des raisons de simplicités nous dirons qu'il doit être administré une fois que les testicules montrent des signes d'atrophie, ou, d’une meilleur façon au cour d’un cycle d’AAS avant que l'atrophie ne se produise.
Cela est logique puisque, contrairement à la croyance populaire, l'HCG (et l'HMG ) ne font pas "relancer" ou "récupérer" quoi que ce soit. Ils ne rétablissent pas les niveaux de testostérone de façon permanente et ils ne garantissent pas que la production soit de retour à la normale. Ils donnent tout simplement un coup de pouce temporaire qui peut être extrêmement utile lorsque son système hormonal a été supprimé et tente de revenir à la normale. C'est un peu une "longueur d'avance" sur la reprise, mais à un moment, le corps doit produire des hormones de lui-même, sinon, il ne peut pas y avoir de reprise, c'est juste la substitution d'un médicament pour un autre.
L'écart le plus important réside dans le fait que l'HCG imite la LH (hormone lutéinisante). Il donne au corps un faux signale de présence de la LH et tout le reste réagit en conséquence. L'HMG élève quant à lui la LH naturelle (faits relatés dans la littérature underground). Il est vraisemblablement plus juste de constater qu’il s’agit en fait d’un mix de LH et de FSH.
Maintenant, pour certains, il y a peu de différence, mais il est toujours mieux pour le corps de réagir de manière naturelle quand on tente un retour à la normale. Il y a aussi moins de chance de créer une intolérance lorsque l’on fait ceci.
Dans le cas de l'HCG, l’intolérance se développe assez rapidement. La nature est assez pointue, vous pourrez la tromper quelques fois, mais après un moment, elle refuse de coopérer. C'est pourquoi l'utilisation excessive de l'HCG n'est pas recommandée. Une utilisation à haute doses sur une période prolongée engendrera une désensibilisation des cellules de Leydig.
L’effet moins suppressif de l’HMG reste cependant spéculatif.
De manière plus ou moins empirique, on estime que l'HMG provoquerai un moindre pic d'œstrogènes. L'utilisation de l'HMG en bodybuilding est si récente qu'il n’y a pas suffisamment de recul pour affirmer ces éléments.
Une différence absolue entre les deux composés est le fait que la HMG auguement la FSH (hormone folliculo-stimulante) et que l'HCG ne le fait pas. Encore une fois, ceci est dû au fait que l'HCG fonctionne de manière synthétique et que l'HMG stimule la boucle de réaction entière. Ceci est particulièrement intéressant car une augmentation de la FSH signifie un plus grand nombre de spermatozoïdes et un plus gros volume d’éjaculation.
Dosage:
Bien que l’utilisation de HMG soit relativement récente dans le milieu du bodybuilding, il y a déjà des idées reçues entourant son utilisation. Les gens ne réalisent pas que les doses recommandées dans la littérature sont déterminées dans le but de stimuler la fertilité chez la femme.
Pour une utilisation masculine et sportive, une dose beaucoup plus faible est nécessaire. Une seule dose de 75 UI peut être tout à fait suffisante. (Cette dose pourrait même être réduite de moitié et administrée sur deux jours). Lors de cycles d’AAS certains prennent deux prises de 75 UI de HMG par semaine, couplé à de faibles doses d’HCG pour maintenir l’activité testiculaire en éveil.
De rares cas d’utilisation de HMG à des dosages de 150 UI/Jours sur une période d’une semaine ont été recensés, lors de troubles plus sévères suite à de longs cycles d’AAS.
L’administration de doses plus élevées n’augmentera probablement pas plus les niveaux de testostérone, quant à une augmentation du volume des testicules supérieurs à des valeurs normales, il ne faut même pas y penser.
L'HMG et l'HCG semblent pouvoir être utilisés conjointement.
Idéalement, il ressort que l’HMG devrait être utilisé avec l'HCG et non pas à la place de celui-ci. Cela créant un effet de synergie. Vous pouvez donc utiliser moins de HCG tout en maintenant la production de sperme par la FSH (hormone folliculo-stimulante).
Appréciation:
Les commentaires sur l’utilisation d’HMG sont très positifs. Il semble fonctionner au moins aussi bien que HCG et la plupart des utilisateurs en tirent de meilleurs bénéfices. Jusqu'à ce qu’il y ai une meilleur connaissance de l'HMG, il peut être préférable d'alterner HCG et HMG. Cela peut également avoir l’avantage supplémentaire de réduire les effets de désensibilisation de l'HCG.
Sources : bodybuilding elitefitness, hoffmann novagenics hormon report
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