LA DÉPENDANCE AUX STÉROÏDES ANABOLISANTS ANDROGÈNES

RogueFazer

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Salut a tous les gars je créer ce thread âpres avoir consulté @maxence47

j'ai trouvé ce document la ou je bosse sur l'intranet , et sur internet en pdf

C’est une thèse de l’UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques sur la dépendance aux stéroïdes anabolisants androgènes présentée à la Faculté de Pharmacie de Montpellier en vue d’obtenir le Diplôme d’Etat de Docteur en Pharmacie

par

M. Nicolas PALMIÉ

Soutenue le 21 Septembre 2010



Président : Mme Marylène COCIGLIO, Maître de conférences, Praticien attaché des hôpitaux

Assesseurs : Mme Hélène PEYRIERE, Maître de conférences, Praticien Hospitalier

Mme Claire CONDEMINE-PIRON, Docteur en médecine, Praticien attaché des hôpitaux


Je vous mets le lien du fichier car énormément volumineux et je ne connais pas suffisamment le sujet pour moi-même faire une synthèse de celle-ci

Je vous rajoute aussi le sommaire, qui vous donnera un avant gout de ce qui vous attends.


Bonne lecture a tous




SOMMAIRE

INTRODUCTION 1

1 LES STÉROIDES ANABOLISANTS ANDROGÈNES (SAA) 4

1.1 GENERALITES 4

1.1.1 Définition 5

1.1.2 Historique 6

1.2 TYPES DE MOLECULES 7

1.2.1 Substances commercialisées en France en 2010 7

1.2.2 Médicaments 7

1.2.2.1 Androstanolone 7

1.2.2.2 Testostérone 7

1.2.3 Indications thérapeutiques 8

1.2.3.1 L'androstanolone, spécialité ANDRACTIM® 8

1.2.3.2 La testostérone 9

1.2.4 Statut réglementaire sportif 10

1.3 EFFETS PHARMACOLOGIQUES 11

1.3.1 Mécanisme d'action 11

1.3.2 Distribution et Transport des androgènes 12

1.3.3 Physiologie musculaire 15

1.3.3.1 Rappel de physiologie musculaire 15

1.3.3.2 Action des anabolisants sur le muscle strié 17

1.3.4 Pharmacologie cérébrale 18

1.3.4.1 Les récepteurs aux androgènes 18

1.3.4.2 Les récepteurs GABAA 19

1.3.4.3 Les récepteurs 5-HT 20

1.3.4.4 Les récepteurs dopaminergiques 21

1.3.4.5 Les récepteurs aux opioïdes 21

1.3.4.6 Autres molécules 22

1.3.5 Pharmacocinétique 22

1.3.5.1 Réaction de phase 1 23

1.3.5.2 Réactions de phase 2 24

1.3.6 Relations Structure Activité 24

1.4 EFFETS INDESIRABLES 26

1.4.1 Toxicité 26

1.4.1.1 Effets sur la reproduction 28

1.4.1.2 Effets hépatiques 28

1.4.1.3 Effets Cardiovasculaires, Cérébraux-vasculaire et Hématologiques 29

1.4.1.4 Effets Musculo-squelettiques 30

1.4.1.5 Effets Endocrines 31

1.4.1.6 Effets Rénaux 31

1.4.1.7 Effets Immunologiques et Infectieux 32

1.4.1.8 Effets psychologiques 32

1.4.2 Interactions médicamenteuses 34

1.4.2.1 Avec les anticoagulants oraux 34

1.4.2.2 Avec les hormones thyroïdiennes 34

1.4.3 Contre-indications 34

2 DOPAGE ET MÉSUSAGE 36

2.1 DOPAGE 37

2.1.1 L’expression « Dopage » 37

2.1.2 Tentatives antérieures de dopage 39

2.1.3 Le Dopage et son interdiction progressive 40

2.1.3.1 La mise en place de la lutte antidopage 40

2.1.3.2 L’agence mondiale antidopage 42

2.1.3.2.1 La liste des interdictions 2010 43

2.1.3.2.2 Les Autorisations d’Usage à des fins Thérapeutiques (AUT) 45

2.1.3.3 La lutte contre la consommation de stéroïdes anabolisants 45

2.1.3.4 L’affaire BALCO 47

2.2 MESUSAGE 49

2.2.1 Les adolescents 49

2.2.2 Les sportifs 50

2.2.3 Le mésusage sur ordonnance 52

2.2.3.1 Enquête testostérone réalisée en juin 2004 52

2.2.3.2 Résultats de l’enquête testostérone 53

2.2.3.3 Bilan de l’enquête testostérone 53

3 PHÉNOMÈNES DE DÉPENDANCE 57

3.1 ADDICTION, PHARMACODEPENDANCE, TOXICOMANIE 57

3.2 DEPENDANCE 58

3.2.1 La dépendance 58

3.2.1.1 La dépendance à une substance 58

3.2.1.2 La dépendance à l’exercice 59

3.2.1.3 La dépendance au bodybuilding 62

3.2.1.4 Le complexe d’Adonis 63

3.2.2
La dépendance aux Stéroïdes Anabolisants Androgènes 64

3.3 MESUSAGE 69

3.4 TOLERANCE 69

3.5 SEVRAGE 69

3.6 ABUS 70

4 ANALYSE DE CAS – APPELS « ÉCOUTE DOPAGE » 72

4.1 ÉTUDE DES APPELS REÇUS PAR « ÉCOUTE DOPAGE » ENTRE 2000 ET 2008 72

4.1.1 Introduction 72

4.1.2 Matériels et Méthodes 72

4.1.3 Résultats 75

4.1.3.1 Données démographiques 75

4.1.3.2 Les pratiques 75

4.1.3.2.1 Les substances 75

4.1.3.2.2 Quantité et durée de consommation 77

4.1.3.2.3 Effets recherchés 77

4.1.3.3 Le contexte d’appel 79

4.1.3.3.1 Motif d’appel 79

4.1.3.3.2 Personne appelant 80

4.1.3.3.3 Effets secondaires invoqués 81

4.1.4 Discussion 84

4.2 ÉTUDE DE CAS DE DEPENDANCE 86

4.2.1 Étude multi-critères 86

4.2.1.1 CAS 01 87

4.2.1.2 CAS 02 87

4.2.1.3 CAS 04 87

4.2.1.4 CAS 11 87

4.2.2 Études utilisant les critères du DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) 89

CONCLUSION 90

TABLEAUX ET FIGURES 93

BIBLIOGRAPHIE 95

ANNEXES 101




MISE A JOUR LE 28/11/2014

vous rajoute deux liens le premier sur l'antenne médical de prévention du dopage du Languedoc Roussillon et le deuxième lien sur un pdf regroupant l’essentiel du premier pdf exposé au CHU de Toulouse en conférence

http://wwwold.chu-montpellier.fr/publication/inter_pub/R305/rubrique.jsp

http://www.chu-toulouse.fr/IMG/pdf/depandance_aux_anabolisants_-_c._condemine.pdf
 
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RogueFazer

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Merci mon Max pour la reput au passage et de rien pour le partage il va me profiter à moi aussi ne connaissant strictement rien à ce sujet ...
 
I

invité

merci ça m'interresse beaucoup. C'est pour moi évident que cette dépendance existe.

Dès que je me trouve un moment. ;)
 

bengrim

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Mouais mouais mouais...une "thèse" de seulement une centaine de pages, bibliographie comprise...une thèse de médecine qui plus est, qui n'a rien a voir avec les exigences d'une thèse en sciences humaines par exemple, et qui ne propose rien de réellement "nouveau" que de présenter les pratiquants comme des malades...Ah oui , le passage obligé sur la dismorphie et la bigorexie, bien entendu, est là.

Rien d'impressionnant ne de scientifiquement innovant, dans la droite lignée du niveau de réflexion du corps médical actuellement.

Mon opinion , qui n'engage que moi, comme l'auteur de cette "thèse".
 

RogueFazer

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idem que max !!!
Avec plaisir mon @barbarrian


merci ça m'interresse beaucoup. C'est pour moi évident que cette dépendance existe.

Dès que je me trouve un moment. ;)

Il va falloir un grand moment al es mdr ;)


Merci reput pour ton job

Merci pour la reput mon poto ;)



Mouais mouais mouais...une "thèse" de seulement une centaine de pages, bibliographie comprise...une thèse de médecine qui plus est, qui n'a rien a voir avec les exigences d'une thèse en sciences humaines par exemple, et qui ne propose rien de réellement "nouveau" que de présenter les pratiquants comme des malades...Ah oui , le passage obligé sur la dismorphie et la bigorexie, bien entendu, est là.

Rien d'impressionnant ne de scientifiquement innovant, dans la droite lignée du niveau de réflexion du corps médical actuellement.

Mon opinion , qui n'engage que moi, comme l'auteur de cette "thèse".

Chacun trouveras sont compte dedans ;) ( ou pas ... )
 

fqb91

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Merci beaucoup pour le partage, je lirais ça quand j’aurais un peu de temps mais personnellement je ne pense pas que ce soit une réel dépendance comme peut l’être l’alcool, le tabac, la coke etc ..

Etant off depuis 6 mois pour une raison que j’ai déjà mentionné je n’ai aucun problème avec cela ..
et n’en est jamais eu ( bon je ne fume pas et ne suis pas alcoolique mais en connaissant , pour eux, ce serait une torture d’arréter )

Et quand est il des pro qui stop tout du jour au lendemain ?
Je pense plus a une dépendance mentale ( bouhhh je me trouve mince oin oin ) que physiologique ..
Cela n’engage que moi
 

RogueFazer

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Merci beaucoup pour le partage, je lirais ça quand j’aurais un peu de temps mais personnellement je ne pense pas que ce soit une réel dépendance comme peut l’être l’alcool, le tabac, la coke etc ..

Etant off depuis 6 mois pour une raison que j’ai déjà mentionné je n’ai aucun problème avec cela ..
et n’en est jamais eu ( bon je ne fume pas et ne suis pas alcoolique mais en connaissant , pour eux, ce serait une torture d’arréter )

Et quand est il des pro qui stop tout du jour au lendemain ?
Je pense plus a une dépendance mentale ( bouhhh je me trouve mince oin oin ) que physiologique ..
Cela n’engage que moi


Pas de quoi poto , comme j'ai dis chacun trouvera sont compte a travers ce document , il va plaire a certain et pas a d'autre c'est comme ca , certain le trouverons enrichissant , d'autre dirons que c'est un torchons plein de conn*****es , chacun a sont libre arbitre , c’est avec ces connaissances va ce faire sa propre idée ;)
 
I

invité

personnellement je ne pense pas que ce soit une réel dépendance comme peut l’être l’alcool, le tabac, la coke etc ..

pour avoir nagé dans ces substances et pour être en train de me questionner sur les AAS je suis entièrement d'accord avec toi. Faut quand même pas pousser mémé dans les orties.

Néanmoins y-a quand même certains mécanisme qui peuvent opérer à différents niveau selon le tempéraments de chacun je pense.

Si on déjà une fibre à tomber accro à tout, à verser dans l'excès, je pense que cela est possible....mais c'est plus le "terrain propice" qui est a mettre en évidence.
 

Crystal

- OFF -
Pour moi c'est une belle connerie inventées comme beaucoup d'autre.
On ne peut pas être dépendant d'une substance non neuroleptique agressante.( j'ai bossé quelques années chez AIDES, avec des pharmaco/toxico dépendants.)
J'ai lu des 10aines de bouquins sur la drogue/pharmacopée....

Par contre, là où cela peut commencer á s'apparenter á une addiction, vient du fait "des bienfaits" des prods. Le deca va faire du bien au gars qui à des articulations mortes, la testo va rendre certains gars en vraies machine de guerre au lit, etc etc...

Mais à aucun moment, un gars ne peut être dépendant réel des AAS. Il n'y a aucunes molécules pour ce fait.
Il ne faut pas mettre la dépendance et le bienfait dans le même sac...
iPour moi cette étude est une m*rde, car comme d'habitude, on stéréotype un sujet, qui n'est au vu des mecs qui on écrit se torchon, pas du tout maîtrisé.
Au pire des cas, qu'est-ce qu'ils ont fait?!. Ils sont allez cherchés 2 ou 3 mecs dans une salle qui juicer, pour prendre leurs ressentis. Pas de chance, ils ont du tomber sur des " tellement vrai nrj12"...
 

Zao

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Pour moi c'est une belle connerie inventées comme beaucoup d'autre.
On ne peut pas être dépendant d'une substance non neuroleptique agressante.( j'ai bossé quelques années chez AIDES, avec des pharmaco/toxico dépendants.)
J'ai lu des 10aines de bouquins sur la drogue/pharmacopée....

Par contre, là où cela peut commencer á s'apparenter á une addiction, vient du fait "des bienfaits" des prods. Le deca va faire du bien au gars qui à des articulations mortes, la testo va rendre certains gars en vraies machine de guerre au lit, etc etc...

Mais à aucun moment, un gars ne peut être dépendant réel des AAS. Il n'y a aucunes molécules pour ce fait.
Il ne faut pas mettre la dépendance et le bienfait dans le même sac...
iPour moi cette étude est une m*rde, car comme d'habitude, on stéréotype un sujet, qui n'est au vu des mecs qui on écrit se torchon, pas du tout maîtrisé.
Au pire des cas, qu'est-ce qu'ils ont fait?!. Ils sont allez cherchés 2 ou 3 mecs dans une salle qui juicer, pour prendre leurs ressentis. Pas de chance, ils ont du tomber sur des " tellement vrai nrj12"...

Tu oublis juste la dépendance psychologique.
Il existe des drogues (le forum interdit de les citer) psychotropes qui ne provoque aucune dépendance physique mais psychologique oui.
 

Crystal

- OFF -
Tu oublis juste la dépendance psychologique.
Il existe des drogues (le forum interdit de les citer) psychotropes qui ne provoque aucune dépendance physique mais psychologique oui.

Oui exact mon ami.
La dépendance psy se soigne avec les mots, la parole, le suivi. Tu peux mettre en place un suivi médico suivi, mais avec des produits léger. Bref..
Je vois très bien de la/les-quels tu parle. ( un produit connu en 3 lettres) qui sort, du moins qui a était mis au moins par un Suisse. (Albert son prénom).. Mais celle-ci sont d'un autre niveau dans le milieu festif, si on peut dire ça...
L'article de Rogue en surface est bien. Il avertis, protège (d'un côté), signal, mais en garde... Et ça c'est bien.
Mais dans le fond, il stigmatise comme beaucoup d'autre chose, un sujet qui, sur le fond, n'a pas lieu d'être.

C'est peut être les quelques années passées chez AIDES qui m'ont "blindé", et surtout, qui me foute sur la défensive quand on parle de dépendance. Il y a tellement de produits qui ne crée aucune dépendance, mais, qu'aujourd'hui les gens, les médias etc, le rendent dépendant ...

Enfin bref, je pars en HS....

+1 Rogue pour cette article. :)
 

RogueFazer

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Sur la dependance psychiologique des chercheurs de l’Université de Göteborg en Suède ont publié dans le British Journal of Sports Medicine d’Avril 2013 les résultats d’une étude sur les effets médicaux de la prise de stéroïdes sur des athlètes suédois.

700 anciens lutteurs, haltérophiles, powerlifters et spécialistes du lancer, qui ont pratiqué la compétition entre 1969 et 1970 ont été suivis ; 20% d’entre eux ont admis avoir utilisé desn téroïdes pendant cette période.


Stéroïdes et dépression

La conclusion de l’enquête révèle que les sportifs ayant consommé des anabolisants il y a 30 ans ont aujourd’hui une santé mentale perturbée. En effet, ils sont plus souvent traités contre la dépression, les troubles du comportement et de la concentration. Ils deviennent aussi plus souvent des consommateurs excessifs de drogues et d’alcool.



L’auteure principale de l’étude, le docteur Fahlke, reconnaît que la corrélation entre ces consommations et les troubles de santé mentale, ne donne pas la clé de la relation de causalité entre ces phénomènes. Un trouble de la personnalité initial peut être à l’origine de ces consommations, tout comme celles-ci peuvent induire des troubles mentaux, voire augmenter le risque de leur apparition chez des personnes présentant une simple vulnérabilité initiale.

Les chercheurs qui ont dévoilé cette mécanique risquée suggèrent une prévention du dopage dans le sport de haut niveau et hors le milieu sportif de compétition...
 

RogueFazer

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Oui exact mon ami.
La dépendance psy se soigne avec les mots, la parole, le suivi. Tu peux mettre en place un suivi médico suivi, mais avec des produits léger. Bref..
Je vois très bien de la/les-quels tu parle. ( un produit connu en 3 lettres) qui sort, du moins qui a était mis au moins par un Suisse. (Albert son prénom).. Mais celle-ci sont d'un autre niveau dans le milieu festif, si on peut dire ça...
L'article de Rogue en surface est bien. Il avertis, protège (d'un côté), signal, mais en garde... Et ça c'est bien.
Mais dans le fond, il stigmatise comme beaucoup d'autre chose, un sujet qui, sur le fond, n'a pas lieu d'être.

C'est peut être les quelques années passées chez AIDES qui m'ont "blindé", et surtout, qui me foute sur la défensive quand on parle de dépendance. Il y a tellement de produits qui ne crée aucune dépendance, mais, qu'aujourd'hui les gens, les médias etc, le rendent dépendant ...

Enfin bref, je pars en HS....

+1 Rogue pour cette article. :)


Merci l'ami ;)

je penses qu'il ny a pas de HS ici il est bon d'apporter sont opinion et sont expérience , du moins je préfère quelqu'un qui me dit qu'il n'ait pas d'accord et qui m'explique pourquoi en avançant ses arguments , plutôt que quelqu'un qui dit " ha non c'est pas vrai !... et qui ne ce manifeste pas ... ) ;)
 
I

invité

sur le long terme les AAS change ton caractère, j'ai plusieurs fois entendu des mecs me dirent qu'ils s'étaient retrouvés sous anti dépresseurs suite à une cure. J'en connais personnellement 3 ou 4....de là à généraliser bien sûr...y-a une marge.

J'ai constaté sur moi même, et diabolette me l'a confirmé, de gros changement de caractères............à présent je serais bien incapable de dire comment je réagirais si je stoppais tout.

J'ai certe un "gros" vécu pour avoir décroché de pas mal de chose dans ma vie alors je pense être bien armé pour faire face à une éventuelle dépression si elle devait arriver....encore faut-il la voir venir car dans le cas qui nous interresse, les choses bougent et surviennent en silence.

ça ne reste que mon avis évidemment et mes observations. C'est pas l'évangile loin de là ;)
 

Sixe.K

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Comme le souligne Crystal, aucune molécule de produits dopants ne crée une dépendance physiologique.
Je pense que nous sommes tous d'accord.
Mais pour ce qui est du psychologique, comme le souligne cette fois Diabolo77, par empirisme je dirai qu'il est évident qu'il peut se créer une dépendance. À titre personnel je peux l'affirmer.

C'est tellement bon quand la cavalerie arrive...

On voit souvent le monde du muscle bâti sur une sainte trinité: training nutrition repos. Mais quand tu as goûté au doping tu sais alors qu'il manquait une brique pour être "complet".

Ce bouillonnement intérieur... Oui je comprends qu'on puisse y être accro.
 

Crystal

- OFF -
Yes, exact les amis.
Ça fait du bien d'échanger/discuter sur ci ou ça. :)

( j'ai étais accro 2 ans à la buprénorphine. Une belle saloperie vendu en pharmacie).
 

Crystal

- OFF -
Comme le souligne Crystal, aucune molécule de produits dopants ne crée une dépendance physiologique.
Je pense que nous sommes tous d'accord.
Mais pour ce qui est du psychologique, comme le souligne cette fois Diabolo77, par empirisme je dirai qu'il est évident qu'il peut se créer une dépendance. À titre personnel je peux l'affirmer.

C'est tellement bon quand la cavalerie arrive...

On voit souvent le monde du muscle bâti sur une sainte trinité: training nutrition repos. Mais quand tu as goûté au doping tu sais alors qu'il manquait une brique pour être "complet".

Ce bouillonnement intérieur... Oui je comprends qu'on puisse y être accro.


+1.
Dépendance psychologique, et dépendance physiologique, sont 2 choses différente. ;)
 

RogueFazer

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Mécanisme d'action
La buprénorphine est un agoniste-antagoniste morphinique et se fixe au niveau des récepteurs cérébraux μ et κ. Son activité dans le traitement de substitution des opioïdes est attribuée à sa liaison lentement réversible aux récepteurs μ qui minimiserait de façon prolongée le besoin des toxicomanes en stupéfiants.

L'activité agoniste partielle de la buprénorphine confère au produit un index thérapeutique élevé en limitant ses effets dépresseurs, notamment sur les fonctions cardiorespiratoires. La marge thérapeutique de la buprénorphine peut être amoindrie en cas d'association à des benzodiazépines ou dans des situations de mésusage de la buprénorphine.

Cas d'usage
La buprénorphine est utilisée, seule ou en association à la naloxone, dans la prise en charge de dépendances aux opiacés.

Dans quelle cas tu utilisais ca ?
 

Crystal

- OFF -
Quelques mois apres mon comas. Ayant déconné pas mal pendant ma rééducation je suis tombé dans une merde ( poudre marron). :tete:
J'ai déconné, car à l'époque mon espèce de professeur, je l'appelle "espèce", m'avait toujours expliqué, que jamais je ne reposerais les fesses sur une bécane.

Aujourdhui, j'ai changé de crèmerie, sorti des japonais (Suzuki) pour passer chez les ritals ( ducati)Et tout va bien. J'éclate toujours autant de radars . :D Enfin presque, mais je ne me plains pas, quand je vois certains potos du fofo, ou dehors....

Bref, donc oui, l'addiction quel-quel soit, est malheureusement un mal dur á vaincre.

Le meilleur remède, c'est un entourage béton.

Ps: la naloxone ( le générique) est fait pour les empêcher les gars á faire des IV.
 
Dernière édition:

Adem95

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@Crystal j'ai eu le même toubib que toi qui m'a promis que je ne remonterais plus jamais sur un deux roue .. 2 ans plus tard je suis retourné le voir en S1000RR et dit que j'en voulais plus de ses ordonnances..
+1 le meilleur remède c'est l'entourage !!
 
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