Le mercure se retrouve naturellement dans la nature. Les volcans en émettent, notamment. Mais s'il n'y avait que les volcans, on ne parlerait pas souvent de cas de contamination; la majorité des émissions de mercure proviennent de sources industrielles. Le mercure étant volatil, il peut voyager dans l'air sur de grandes distances avant de se déposer sur le sol. Ou dans l'océan. C'est ainsi qu'il se retrouve dans nos assiettes. Ce mercure marin est transformé en méthylmercure, la forme la plus dangereuse du mercure. Les petits poissons sont contaminés. Les plus grands,contaminés eux-mêmes, se nourissent des petits. Augmentant du coup leur propre concentration.Le pays de shushi a resserré ses normes; le poisson doit contenir un maximum de 0,4ppm (parties par million) de mercure. Au Canada, les autorités tolèrent PLUS DU DOUBLE!
Le Canada est plus permissif que les États-Unis dans ce domaine. À santé Canada on confirme que les normes ont été établies en se basant que les Canadiens consomment généralement peu de poisson, encore moins de poissons prédateurs. Il y a une tendance à revoir à la baisse les normes, explique le DR Amyot de l'université de Montréal. Les américains l'ont fait.
Santé Canada a justement revu ses normes l,année dernière. Mais plutôt que de baisser la limite de mercure acceptable dans le poisson, on a misé sur les exceptions. Trois espèces ont été ajouté à la liste des poissons prédateurs qui peuvent contenir plus de mercure, et que l'on doit consommer avec modération.Le thon frais ou congelé, le requin, l'espadon, l'escolier, le marlin et l'hoplostète orange peuvent contenir deux fois plus de mercure que les autres espèces,on doit donc en manger moins.
Le Canada est plus permissif que les États-Unis dans ce domaine. À santé Canada on confirme que les normes ont été établies en se basant que les Canadiens consomment généralement peu de poisson, encore moins de poissons prédateurs. Il y a une tendance à revoir à la baisse les normes, explique le DR Amyot de l'université de Montréal. Les américains l'ont fait.
Santé Canada a justement revu ses normes l,année dernière. Mais plutôt que de baisser la limite de mercure acceptable dans le poisson, on a misé sur les exceptions. Trois espèces ont été ajouté à la liste des poissons prédateurs qui peuvent contenir plus de mercure, et que l'on doit consommer avec modération.Le thon frais ou congelé, le requin, l'espadon, l'escolier, le marlin et l'hoplostète orange peuvent contenir deux fois plus de mercure que les autres espèces,on doit donc en manger moins.