Pilule contraceptive et AAS

Pour ou contre la contraception hormonale ?

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Brunesauvage

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Bonjour à tous,

Etant une femme et après des recherches fructueuses j'ai pu constater qu'il n'y a aucune étude et aucun compte-rendu par rapport à l'association de la pilule et des AAS (normal ceci dit d'un côté).
Or, je sais que c'est une des nombreuses questions qui reviennent dès lors qu'une femme prenant une contraception hormonale veut commencer les AAS.

En outre, je vais donc partir d'une explication "scientifique" et en tirer MES conclusions. (Je préfère préciser)
Pour commencer, voici la petite histoire de la pilule et son fonctionnement :

"La pilule existe maintenant depuis 60 ans et est prise aujourd'hui par plus de 110 millions de femmes. C’est en 1951 que le noréthindrone, le premier contraceptif oral de synthèse, a été obtenu.

Cette découverte fut brevetée par la société Syntex établie à Mexico (Mexique) pour préparer des stéroïdes thérapeutiques à partir de l’igname mexicaine (Dioscorea mexicana), contenant de fortes teneurs en diosgénine, produit de départ de synthèses économiques de la cortisone, pregnénolone, progestérone.

synthnorethindrone.png


Les femmes ont longtemps cherché à contrôler leur fertilité, avec des méthodes plus ou moins efficaces, et ce n'est qu'à partir de 1928 que le rôle joué par les œstrogènes et la progestérone se précise et ouvre la voie au contrôle du cycle reproductif féminin.

Ce cycle est divisé schématiquement en trois phases : d’abord, l’ovaire produit (pendant 12-13 jours) les œstrogènes qui préparent la muqueuse utérine (ou endomètre) et qui, de plus, rendent la substance gélatineuse (glaire) qui couvre le col utérin, claire et cristalline, avec formation de petits canaux permettant le passage de spermatozoïdes et la fécondation ; ensuite, a lieu l’ovulation qui libère l’ovule ; enfin, l’ovaire sécrète une autre hormone, la progestérone (ou lutéine), pour préparer la réception de l’ovule fécondé. C’est la phase lutéinique, qui dure environ 14 jours.

oestrogenes.png


Le fonctionnement d’une pilule contraceptive sera basé sur deux points essentiels : le maintien artificiel des taux de progestérone et d’œstrogènes qui met l’organisme dans un état comparable au premier stade de la grossesse et l’arrêt de la production d’hormones stimulant l’ovulation par l’hypophyse (les hormones FSH qui permettent la maturation des ovocytes et LH qui déclenche l’ovulation). Il en résulte une triple protection : en l’absence d’ovulation, les ovocytes n’accèdent pas à l’utérus, la glaire cervicale s’épaissit et devient imperméable aux spermatozoïdes, et la muqueuse utérine devient impropre à la nidation, c’est-à-dire à l’implantation de l’embryon.

En 1938, l’équipe de la société Schering AG (Berlin) synthétise la 17α-éthynyl testostérone, le premier progestatif oral, commercialisé en 1939 en Allemagne sous le nom Proluton C® et en 1945 aux États-Unis comme Pranone®.

L’année 1951 fut décisive avec la publication de la synthèse de la 19-Nor-progestérone et dépôt d’un brevet par les chercheurs de la société Syntex et le financement du projet de pilule contraceptive. Ce contraceptif hormonal, né en 1955, fut d’abord essayé en 1956 par 250 femmes d’une banlieue pauvre de Porto Rico, où plusieurs centres de contrôle des naissances étaient déjà implantés.

En 1960, la Food and Drug Administration américaine (FDA), autorisera l’Enovid® à inclure la contraception comme indication ; en France, il faudra attendre la loi Neuwirth de 1967 (depuis 1920, après l’hécatombe de la Première Guerre Mondiale, toute propagande anticonceptionnelle était interdite), et les japonaises attendront 1999…

Il existe deux types de pilules contraceptives utilisées par environ 2/3 des femmes françaises :
-La pilule combinée : associant un œstrogène et un progestatif, née par hasard en 1956, beaucoup plus efficace que le progestatif seul dans le contrôle de l’ovulation.
-La pilule progestative : microdosée, sans risque cardio-vasculaire avéré pour les utilisatrices.

desogestrel-9a364.png

De nombreux stéroïdes de synthèse, possédant souvent un groupe éthynyle en position 17 et dérivés de la nor-testostérone ont été préparés et testés pour une efficacité maximale et des effets secondaires réduits au minimum. La série des progestatifs de seconde et troisième génération, comme le norgestrel racémique, le lévonorgestrel et le désogestrel en sont un exemple.
Le dernier est prescrit chez les femmes souffrant notamment de diabète, car il n’a qu’un impact limité sur le taux de sucre sanguin et aussi sur celui des lipides.

levonorgestrel-97ade.png

Le lévonorgestrel (L-norgestrel ou D-norgestrel), qui a une remarquable affinité pour les récepteurs des hormones stéroïdes (323% sur celui de la progestérone, mais également 58% sur celui de la testostérone…), peut être utilisé seul à très faible dosage (30 µg). Il est aussi le composé actif associé à d’autres modes d’administrations que la pilule, comme le système intra-utérin, dit SIU, et les implants contraceptifs.
Enfin, à forte dose (1 500 µg), c’est une pilule du lendemain à prendre dans les 3 jours suivant le rapport.

drospirenone-77444.png

Tous ces composés sont des agonistes du récepteur de la progestérone endogène (c’est-à -dire qu’ils activent ce récepteur). La drospirénone, une spirolactone de la famille des diosgénines, est un exemple d’agoniste du récepteur des œstrogènes, qui présente une affinité élevée de 97 % ; elle est déconseillée aux femmes souffrant d’insuffisances hépatiques et/ou rénales, et les risques de thrombose semblent plus élevés que pour les molécules précédentes.
L’aromatase est également utilisé.

L’efficacité de la pilule est très élevée… sauf en cas d’oubli, qui constitue un risque réel de grossesse non désirée. Les injections, les patchs sont des solutions réversibles, moins astreignantes, comme le sont le SIU ou les implants.

Les contraceptifs d’urgence, comme la pilule du lendemain, ou les molécules, comme la mifépristone (Mifégyne®), encore appelée RU 486, permettent des avortements médicamenteux.

mifepristone-92951.png

Cette dernière peut être prise jusqu’entre la 5e et la 7e semaine de grossesse. Elle bloque l’action progestative sur les récepteurs muqueux et entrave le développement embryonnaire ; de plus, grâce au cycle aromatique activé en position C-11, elle capte les agents oxydants (comme les peroxynitriles) et agit sur le système immunitaire qui permet à la mère d’éviter le rejet de l’embryon.

Dans les 2 jours qui suivent la prise de la molécule, une prostaglandine, qui va provoquer des contractions utérines, assurera le succès du traitement dans 95% des cas. La saga du RU 486 est exemplaire. Recherché à l’origine comme anti-glucocorticoïde, il est mis au point en 1979 par les chercheurs de la société Roussel-Uclaf, alors française et réputée internationalement pour ses travaux fondamentaux dans le domaine des stéroïdes. Le brevet fait état également d’une très bonne activité anti-progestative (c’est un antagoniste du récepteur). C’est cette activité qui va éveiller l’attention et qui le fera tester comme alternative à l’avortement par aspiration, seule technique connue à l’époque, responsable de très nombreux décès. Présentée à l’Académie des Sciences en 1982, cette molécule reçoit le soutien de l’Organisation Mondiale de la Santé en 1983, puis de l’ONG américaine Population Council.

Malgré l’opposition de certains milieux, la mifépristone sera mise sur le marché en France en 1988, en Grande Bretagne en 1991, en Suède en 1992… mais sera mise sur la liste des produits interdits d’importation aux Etats-Unis en 1989. Les chinois copieront la molécule dont les droits seront cédés gracieusement à Population Council pour le marché américain, par Roussel-UCLAF, en 1994. La pilule est commercialisée aux États-Unis en 2000. A la suite de complications industrielles et politiques, c’est Edouard Sakiz, co-découvreur, qui bénéficie maintenant des droits sur la production et la commercialisation de la pilule.

La ménopause arrive en moyenne chez les femmes françaises vers 51 ans. Elle résulte de la disparition du cycle menstruel lié à la diminution puis l’arrêt de la production endogène d’hormones œstrogènes et progestatives, ainsi que l’impossibilité subséquente de procréer. Diverses pathologies peuvent avoir le même effet, qui se traduit par des symptômes souvent déplaisants, et parfois sérieux comme l’ostéoporose. Depuis une trentaine d’années, afin de les combattre, l’habitude a été prise de prescrire une hormonothérapie substitutive sur le long terme, malgré une suspicion de cancérogénicité. Un examen complet de la bibliographie scientifique, disponible près de l’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer (IARC), a confirmé, en 2005, que les contraceptifs oraux accroissent le risque de certains cancers (sein, col utérin, foie)… mais diminuent le risque de cancer de l’endomètre et de l’ovaire ! Quant à l’hormonothérapie ménopausique combinée, elle est désormais considérée comme « cancérogène pour l’homme », mais cela dépend, comme pour les contraceptifs oraux, de la durée du traitement, de la susceptibilité individuelle et des antécédents familiaux.

La vogue des alternatives « naturelles » n’a pas épargné le contrôle des naissances et le traitement de la ménopause. Les phytoestrogènes, notamment non stéroïdiens, comme les isoflavones, ont largement été utilisés sous forme de supplément alimentaire, sans que l’on sache véritablement si, sur le long terme, ils sont sans dangers. L’utilisation d’extraits naturels est ancienne, puisque dès les années 1930, des œstrogènes actifs par voie orale étaient extraits d’urine de femme enceinte pour traiter la ménopause sous le nom de Emmenin®. Puis ce fut l’urine de jument gravide qui servit de source de stéroïdes hormonaux.

De telles approches sont appelées Bioidentical hormone replacement therapy (BHRT) : seules les hormones identiques aux composés naturels endogènes sont utilisées. Les scientifiques s’accordent généralement pour regretter que le concept soit ambigu, que le dosage pour atteindre et contrôler « l’équilibre hormonal naturel » s’effectue par des tests sanguins et/ou salivaires peu convaincants et que rien ne prouve l’efficacité et l’innocuité de ces pratiques… Aux États-Unis où la BHRT, bien que nettement plus coûteuse que l’hormonothérapie classique, est prospère, de très nombreuses associations de médecins, cancérologues, endocrinologues, ont rappelé que le rapport bénéfice/risque n’est pas, au mieux, significativement changé !

« Les hormones endocrines, qu’elles soient de synthèse ou « naturelles », sont, par définition, des perturbateurs endocriniens à n’utiliser que sous contrôle médical, comme vous le diront les petits poissons qui changent de sexe dans nos rivières et nos étangs ! »

Sources
Maintenant que l'on en sait plus on peut en tirer quelques conclusions qui ne nécessitent pas d'avoir un doctorat.
Déjà, j'aimerai donner mon avis à propos des contraceptifs hormonales.
Personnellement, par choix, je n'en utilise pas. J'ai essayé la pilule ainsi que l'implant contraceptif. Dans les deux cas, mon système hormonal ainsi que mon système neurologique ont été complètement chamboulés.
Dans les deux cas, j'ai pris beaucoup de poids, et très rapidement, j'ai eu de grosses perturbations sur mon cycle menstruel et j'ai eu de grosses déprimes et autres soucis d'ordre psychologique.
J'ai également eu les joies de la cellulite, de l'acné, et de la croissance de la pilosité. Aussi, j'ai eu un début de cancer du col de l'utérus très tôt, soit à l'age de 16 ans.
J'ai, très jeune, pris la décision d'arrêter ces (pardonnez moi la vulgarité) MERDES.

C'est très bien que la femme ai aujourd'hui un moyen de contrôler sa fertilité. Cependant, je pense qu'il est sain de s'axer sur des contraceptifs non hormonés tel que le stérilet.
L'apport d'hormones endocrines sont, comme cité précédemment, des perturbateurs endocriniens. En outre, ils vont créer un remue ménage dans le système hormonal.

Alors imagez maintenant l'apport d'AAS. Qui sont également des apports hormonaux et des perturbateurs endocriniens, et ce, plus encore chez la femme.

Maintenant le rapport entre les deux :

Lors de la prise de n'importe quel AAS, la femme verra son système hormonal féminin chuter considérablement et "s'arrêter" (Plus de cycle menstruel, Oestradiol/LH/FSH très faibles, voir à 0 etc..) et son taux de testostérone augmenter.
Déjà à partir de ce moment là, il faut bien comprendre qu'enfanter est impossible.
D'où le fait que l'utilisation d'AAS sur le long terme peut atteindre la stérilité d'une femme.
Le système hormonal féminin revient à la normal un certain temps après l'arrêt de la prise d'AAS, il faut compter le temps que les produits ne circulent plus dans le sang (voir selon les esters utilisés), ainsi que le temps que l'imprégnation androgénique (cerveau) s'élimine peu à peu, même si cela laisse des traces neurologiques (mais c'est encore autre chose), et que le système hormonal se remette à fonctionner. Là où les hommes ont besoin de relance, la femme, elle, ne peut qu'attendre.
Donc, pilule + AAS, le risque de stérilité est nettement accentué. Et bonjour à la réelle perturbation hormonale, car cela veut dire qu'on donne au corps un apport d’œstrogènes alors que sa production s'est "arrêtée", des progestatifs, et de la testostérone en dose beaucoup plus importante que celles de sa production naturelle. Le système hormonale féminin étant nettement plus sensible que celui d'un homme, ce sont de gros risques et pour la santé physique, et pour la santé psychologique.

DONC, si vous êtes une femme et que vous êtes désireuse de sauter le pas des AAS, il va falloir revoir votre contraception et choisir une contraception non hormonal. Le stérilet en cuivre est à ce jour, pour cet usage, la contraception la plus adaptée. Bien qu'il faille vérifier ses antécédents car il n'est pas fait pour tout le monde.

Si vous faites parti des personnes ne pouvant choisir cette contraception alors mon conseil est de faire un bilan hormonal complet avant la cure, dès lors que les produits sont fonctionnels dans votre sang (selon les esters encore une fois), et à la fin. Afin d'adapter la prise de votre contraception hormonal.
Dès que votre système hormonal féminin est à 0, vous êtes "stériles" (de manière non éternelle rassurez vous) et ce jusqu'à ce que votre système recommence à fonctionner. Donc il faut être encore plus prudente en sachant que les taux vont être "faussés" de part la prise de la pilule. Techniquement vos estradiols seront toujours présents, et LH/FSH déjà supprimées.
Donc il faudrait arrêter sa pilule dès lors que le produit est dans le sang.
Exemple : Vous prenez de la boldénone, sa demi vie est de 12/14 jours, arrêter sa pilule au bout de ce temps là après la première injection , et aller faire une prise de sang pour vérifier qu'effectivement vous n'avez plus ni Estradiol, ni LH, ni FSH. (Ou bien en dessous des taux normaux)
Attendre une vingtaine de jours après la prise de votre dernière injection de boldénone, et refaire une analyse pour voir si vos taux ont recommencé à remonter et reprendre votre pilule.
A savoir bien sur, que de telles fluctuations ne sont pas anodines.
Après cela reste très contraignant dans le sens ou cela demandera une grosse prudence sur vos rapports non protégés au début et à la fin de la cure, et beaucoup de prises de sang. Je dirai même qu'agir ainsi serait un vrai casse tête.
Ceci dit une pilule non hormonée est en cours d'étude. Ce qui pourrait être vraiment intéressant.

Le mieux reste vraiment de s'axer sur un stérilet, qui contrairement à son nom, ne rend pas stérile à vie, c'est une méthode totalement réversible.

Maintenant, vous pouvez continuer à prendre votre contraceptif hormonal pendant votre cure, mais c'est à vos "risques et périls". Cela reste dangereux sur le long terme. Si vous ne comptez faire qu'une cure ou que vous en faites rarement à coup de 20mg d'anavar pourquoi pas, mais si vous comptez être compétitrice et/ou en faire quelques unes et/ou utiliser des produits un peu plus androgènes, il faut y réfléchir.

Après, il faut également savoir que d'une femme à une autre, le système hormonal va réagir différemment à l'apport d'AAS, et bien entendu cela dépend également des AAS utilisés, sur quel terme, et en quelle quantité. D'où l’extrême importance de surveiller de près ses taux.

Quoi qu'il en soit la pilule hormonale ou tout autre contraceptif hormonal vont faire une mauvaise association avec les AAS.

J'espère que cet article a pu être bénéfique à certain(e)s, et qu'il aura été le plus complet possible.
 

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Qu'en est t'il de la prise de contraceptif hormonaux et de la quète d'une forme de concours par exemple? c'est une athlète ayant gardé ce contraceptif ou une athlète naturelle qui n'a pas ce flux d'androgène circulant.

J'imagine que meme si les androgène ont pris le dessus dans l'organisme l'apport d'ostrogène exo va fatalement se ressentir,evidement cela peut etre bloqué par le letro mais alors j'imagine que le contracaptif perd toute son effecacité.

+100 pour le passage sur l'imprégnation androgène dans le cerveau,c'est la première fois que je le vois abordé sur un forum et cela meritait d'etre signalé.
 
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Brunesauvage

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Et bien c’est conciliable mais cela reste plus difficile dans le sens où les deux sont pleines d’œstrogènes et fatalement la facilité à faire du gras et de la flotte est augmentée.

Et malgré l’apport androgène d’AAS, l’apport exogène d’estadriols va se faire ressentir oui, et bien sûr il vaut mieux le couper une à deux semaines avant l’échéance.

Cependant letrosol et pilule, sujet interessant !
L'action pharmacologique du létrozole consiste à diminuer la synthèse d'oestrogènes par inhibition de l'aromatase. Chez les femmes non ménopausées, l'inhibition de la synthèse d'oestrogènes entraîne par rétrocontrôle une augmentation des taux de gonadotrophines (LH, FSH). L'augmentation du taux de FSH stimule à son tour la croissance folliculaire et peut induire une ovulation.
En outre, le letrosol est aussi utilisé dans des cas d´infertilité.
Il est clairement déconseillé d’assembler une source d’oestrogenes Et du letrosol. D’ailleurs cela n’a aucune utilité.
Les femmes prenant du letrosol pour des raisons medicales (cancer du sein par ex), qui ne sont pas ménopausées (Des cas de reprise de la fonction ovarienne malgré un statut de ménopause confirmée avant le traitement ont quand même été rapportés), doivent avoir une contraception adaptée (non hormonale encore une fois).

L’impregnation Androgenique peut faire l’objet d’un autre sujet encore, c’est très intéressant.
C’est pour cela notamment qu’une femme ayant touchée aux AAS un moment garde généralement des traits de caractère plutôt masculins et ce même après l’arrêt. Une fois que son cerveau a été imprégné d’androgenes, cela laisse des traces.

Ps : « Cum loader » c’est pas classe
 

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Bien vu,c'était pour pointer ce cas particuier,il va de soit qu'avant l'echéance,l'arret s'impose,de toutes façons peu de risque que l'activitée sexuelle soit le principal centre d'interet.
A explorer pour le letro et pillule ainsi que pour l'impregnation,c'est vrai dans le règne animal en généralet chez l'humain également,l'impregnation impacte les hommes durablement alors j'imagine que chez les femmes cela engendre des changements bien plus profond,caractère,libido etc

Ps:je corrige y à pas de pb,cépafo mais certe c'est pas classe ;)
 

Brunesauvage

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Oui et puis c’est sur qu’à 1 ou 2 Semaine de l´echeance quand il y a cardio, cardio, cardio, poulet, cardio, l’activite sexuelle est je crois la dernière chose à laquelle tu penses. Tu réfléchis plutôt à de quel étage tu pourrais sauter pour être sûr d’en finir.

Et bien létro et pilule tout est dit, et déjà en soi l’association est idiote et inutile pour le body...
pour des raisons médicales c’est pas conseillé et il est nécessaire d’adapter sa contraception.

L’impregnation change profondément une femme.
Il faut se dire que l´impregnation a un rôle des l´enfance chez les hommes. Des que le petit garçon commence à produire au niveau testiculaire, c’est là qu’elle entre en jeu. C’est ce qui va notamment attirer le garçon vers les jouets sexués à caractères masculins (camions, voitures, super héros...), vers les bagarres, etc..
Enfaite on peut en conclure qu’elle conditionne.
Il y aurait une étude disant que l’homosexualité n’etait effectivement pas un choix, mais qu’on naissait homosexuel et que c’etait Surtout une question d’hormones (hommes ou femmes).

Donc une femme imprégnée par les androgènes va être reconditionnée.
Preferences sexuelles, libido, caractère, vision des choses, tout est remis en cause. La femme est masculinisée dans tous les sens du terme. Surtout dans la tête.
On devrait en donner aux chochottes (ouuuups)

Ps : non et enfin là faut pas abuser non plus...
 

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Pour l'homosexualité c'est un mixte d'hormones et d'interactions sociales j'imagine meme que d'autres éléments nous echappent,c'est assez complexe.

Une femme imprègnée par les androgènes va etre et de un conditonné et en sus c'est durable meme à l'arret de l'impregnation,au dela d'un certain temps,surtout à l'age ou le cerveau est encore en formation,.

Ps:c'est mon profil, lol l'abus est une habitude,et ce qui est marqué est un fait
 

Brunesauvage

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Oui il y a de ça bien sûr, et plein d’autres facteurs encore, mais les hormones n’y sont pas pour rien. Il faut le savoir.
C’est notamment les homophobes qui devraient le savoir.

Oui, exactement.
Les changements qui ont pu se dérouler lors de l’imprégnation restent à vie.
Je le vois bien sur moi et je peux en parler.

Ps : oui l’abus est un fait
 

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Les homophobes eux memes j'imagine sont coincés entre leurs interactions sociales et leurs propres hormones,encore que cela n'empèche pas de foutre la paix aux gens.Conclusion c'est dire si un simple élément chimique engendre des conséquences énormes,en fait quasi toute les interactions positives et négatives sont le fait d'hormones et de la façon dont les gens y réagissent.les changements physiques eux peuvent etre minorés,surtout lorsque l'on est bien orienté...

Tu as remarqué aussi qu'avec la baisse de la concentration sanguine et l'évactuation des métabolites la nature estompe les changements,cela reste mais moins marqué.

Ps:Tout est un fait,l'abus entre autre
 

Brunesauvage

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Les homophobes eux memes j'imagine sont coincés entre leurs interactions sociales et leurs propres hormones,encore que cela n'empèche pas de foutre la paix aux gens.Conclusion c'est dire si un simple élément chimique engendre des conséquences énormes,en fait quasi toute les interactions positives et négatives sont le fait d'hormones et de la façon dont les gens y réagissent.les changements physiques eux peuvent etre minorés,surtout lorsque l'on est bien orienté...

Tu as remarqué aussi qu'avec la baisse de la concentration sanguine et l'évactuation des métabolites la nature estompe les changements,cela reste mais moins marqué.

Ps:Tout est un fait,l'abus entre autre
Oui, c'est pas parce que ça danse la Sambalélé dans le sac hormonal qu'on est obligé de faire chier le monde!
Oui, l'humain s'adapte très facilement cependant la constitution hormonale est très fragile, le moindre changement peut entrainer d'importantes conséquences, malheureusement plus souvent négatives que positives.

Bien sur, la nature estompe peu à peu les changements, même si cela reste long. Il me faut bien 2 mois pour voir les changements réellement s'estomper. Quant au système hormonal, chez moi, tout dépend la longueur/intensité de la cure, mais entre 1 et 3 mois pour que tout re fonctionne. Mais les changements ne se taisent jamais complètement. Et encore moins les changements psychologiques/neurologiques.

Ps : Chez certains, l'abus est leur principale vocation
 

Brunesauvage

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Bravo et merci pour ce super boulot et ce très bon post, que je passe en "sujet important", avec, bien sur, un peu de réput'

Génial. @Brunesauvage tu tires le forum vers le haut, avec tes posts. La classe. ;)
Merci beaucoup !! Ça me fais très plaisir de voir que je peux apporter à ce forum, qui lui aussi m'apporte beaucoup ! Touchée et heureuse, c'était un sujet qui me tenait à coeur, merci ! :)
 

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Oui, c'est pas parce que ça danse la Sambalélé dans le sac hormonal qu'on est obligé de faire chier le monde!
Oui, l'humain s'adapte très facilement cependant la constitution hormonale est très fragile, le moindre changement peut entrainer d'importantes conséquences, malheureusement plus souvent négatives que positives.

Bien sur, la nature estompe peu à peu les changements, même si cela reste long. Il me faut bien 2 mois pour voir les changements réellement s'estomper. Quant au système hormonal, chez moi, tout dépend la longueur/intensité de la cure, mais entre 1 et 3 mois pour que tout re fonctionne. Mais les changements ne se taisent jamais complètement. Et encore moins les changements psychologiques/neurologiques.

Ps : Chez certains, l'abus est leur principale vocation


Les changement neurologique tu les sent plus au niveau cognitif ou au niveau de la reactivité?
 

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Par réactivité j'entendais l'emportement,une caractéristique de l'impregnation androgène,pas la réactivité à un stimulus sonnore.

Le mieux etant si tu peux decrire ce que tu as remarqué toi comme changement neuro si ce n'est pas indiscret,en etant off c'est la que tu as le plus de recul.Je me suis tjr demandé si chez une femme c'étaient les memes copiés/collés que ceux des hommes ou si c'était different.
 

Brunesauvage

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Par réactivité j'entendais l'emportement,une caractéristique de l'impregnation androgène,pas la réactivité à un stimulus sonnore.

Le mieux etant si tu peux decrire ce que tu as remarqué toi comme changement neuro si ce n'est pas indiscret,en etant off c'est la que tu as le plus de recul.Je me suis tjr demandé si chez une femme c'étaient les memes copiés/collés que ceux des hommes ou si c'était different.
J’avais bien compris lol. Non non j’entends ni mieux ni moins bien. X)

Emportement, agressivité, pic d’adrenaline/colère, énervement sans forcément de raison particulière, libido amplement accrue (et sensations aussi), choix/pratiques sexuelles différentes/amplifiées, esprit dirigé plus vers la violence/le sex/parfois la paranoïa.
Après ça a également amplifié des comportements masculins que j’avais déjà (je suis un garçon manqué dans la tete). J’ai peur de pas grand chose, impossibilité totale de pleurer, peu d’emotions.
Enfin j’ai quand même beaucoup plus d’assurance, de confiance en moi, de repartie, mon cerveau tourne mieux, plus vite, je suis plus fonctionnelle, moins de fatigue, plus de gniac, d’envie de bouger, de me déchirer.
Il y a de gros points positifs, mais aussi de gros points négatifs.
On va dire qu’en cure je me sens très bien mais je suis à moitié déshumanisée.

Et des que j’arrete psychologiquement c’est très dur, déprime, grosse fatigue, je passerai mes journées au lit, moins d’appetit, de motivation, de libido, moins de reactivite, j’ai l´impression d’etre Un légume lol.

Mais à l´interieur, je suis psychologiquement bien plus proche de l´homme, que de la femme, cure ou pas.
 

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Je savais que tu saisirais la balle au bond lol je parlais pas de se transformer en saiyan

Merci de ton retour qui sera utile auxpratiquantes feminines pour se sentir moins perdues et dans leur tete et dans leur corp en cure et surtout en off aprés.

Ton feed se rapproche quasi à 100% de celui que pourrait faire un homme,evidement ta personnalité va en ce sens mais je pense que tout du moins durant le ON une femme experimentera les memes effets.Le off lui est plus particulier je pense dans la mesure ou un homme peut "tenter" de relancer mais une femme pas que je sache mais je ne suis moins calé que toi à ce niveau.
Cela tendrait à demontrer que les androgènes agissent de meme façon quelques soit le sexe et qu'il y à bien un off difficile chez une utilisatrice féminine,c'est trés peu abordé,je n'ai jamais entendu parler de pct à ce sujet d'ailleur,sans doute parce que la relance serait differente,parce que personne n'y à vraiment reflechie surtout...ce serait interessant de savoir si la micro production de testo chez la femme se met en sommeil de la meme façon ou si c'est un retour de flamme purement psychologique.Les ovaires et le testicule produisent les meme hormones ou quasi (testo,oestro) seules les proportions varient,celles là peut etre subissent elles un effet "mise en berne" la testo produit localement dans la cellule musculaire elle je ne pense pas qu'elle sera affectée mais elle est minime.

Merci de ton retour
 

Brunesauvage

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Une femme ne peut pas relancer.
Tout en sachant que ce qu'utilisent les hommes pour relancer sont des médicaments de base réservés aux femmes pour des problèmes d'ordre médicaux (Gonado, clomid..). En outre, ces médicaments n'ont bien entendu pas le même effet sur une femme que sur un homme. On peut toujours dériver des choses de leur utilisation principale, d'ailleurs c'est ce que vous faites pour relancer, mais nous, non, c'est bien pour des utilisations spécifiques.

Il n'existe pas de PCT pour les femmes. Inutile. On produit si peu de testostérone. D'autant plus que notre production a nous fait tout de même partie de notre cycle menstruel, donc dès que le système est remis en route, tout refonctionne.
Ce n'est pas cela qui est éprouvant pour le corps, le taux normal féminin est normalement compris entre 0.03 et 0.48 ng/ml alors bon...
C'est le fait de passer d'un haut taux à quasi rien, d'un haut taux à sa production normale féminine.
Sur ma dernière analyse j'étais à 4.26 ng/ml. Soit 10 fois le taux normal maximum d'une femme. Ou 150 fois le taux minimum d'une femme. C'est ça qui est dur.
On reparle d'imprégnation, le cerveau et le système s'habituent à cet apport exogène.
En outre, se retrouver à 0 ou à sa production naturelle nous fait le même effet qu'à vous dès lors que vous allez relancer.
C'est un retour de flamme à la fois psychologique et hormonal, car même le corps s'habitue à fonctionner avec ses taux.
 

Gregorius

Apprenti chimiste Neuro 1A
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Sujet très intéressant ! D’ailleurs j’arrive pas à trouver la reput.

Je me suis toujours demandé ce qu’une femme ressentais en étant ON.

Si je peux me permettre. Tu ressens quoi ?
Je veux dire. Un homme a un bénéfice musculaire c’est évident mais pas que.
Le gros plus c’est sur la libido. Encore qu’il y a tellement de paramètres avec les e2 etc ...

Tout ça pour dire. Tu ressens quoi niveau libido ? Confiance ? Moral ? Nervosité ?

Quand tu reviens OFF tu te sentirais comme moi quand je ratais mes relances ?

Sensation d’être une merde. Envies négatives

Quand je vois ma femme pendant ces règles ça me fait cogiter sur ma façon de jouer avec mes hormones mdr
 

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vétéran
Une femme ne peut pas relancer.
Tout en sachant que ce qu'utilisent les hommes pour relancer sont des médicaments de base réservés aux femmes pour des problèmes d'ordre médicaux (Gonado, clomid..). En outre, ces médicaments n'ont bien entendu pas le même effet sur une femme que sur un homme. On peut toujours dériver des choses de leur utilisation principale, d'ailleurs c'est ce que vous faites pour relancer, mais nous, non, c'est bien pour des utilisations spécifiques.

Il n'existe pas de PCT pour les femmes. Inutile. On produit si peu de testostérone. D'autant plus que notre production a nous fait tout de même partie de notre cycle menstruel, donc dès que le système est remis en route, tout refonctionne.
Ce n'est pas cela qui est éprouvant pour le corps, le taux normal féminin est normalement compris entre 0.03 et 0.48 ng/ml alors bon...
C'est le fait de passer d'un haut taux à quasi rien, d'un haut taux à sa production normale féminine.
Sur ma dernière analyse j'étais à 4.26 ng/ml. Soit 10 fois le taux normal maximum d'une femme. Ou 150 fois le taux minimum d'une femme. C'est ça qui est dur.
On reparle d'imprégnation, le cerveau et le système s'habituent à cet apport exogène.
En outre, se retrouver à 0 ou à sa production naturelle nous fait le même effet qu'à vous dès lors que vous allez relancer.
C'est un retour de flamme à la fois psychologique et hormonal, car même le corps s'habitue à fonctionner avec ses taux.

Voilà j'ai capté la production ovarienne de testo repart avec le cycle,merci de ce point de precision.effectivement pas de relance,à moins qu'on ne saisisse pas tout et qu'il existe un médoc pour booster des ovaires recalcitrants,c'est bien possible qu'alors cela soit une pct pour vous,enfin "en théorie".
Tu dis "on produit si peu de testostérone" dans les fait comparativement à un homme c'est vrai néanmoins la carence est catastrophique,je pense que cela correspond à une carence en oestrogène chez l'homme car à l'inverse chez nous c'est l'oestrogène qui est trés peu produit,par contre il est vital pour la stabilité émotionelle et la fonction sexuelle..
 
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Brunesauvage

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Sujet très intéressant ! D’ailleurs j’arrive pas à trouver la reput.

Je me suis toujours demandé ce qu’une femme ressentais en étant ON.

Si je peux me permettre. Tu ressens quoi ?
Je veux dire. Un homme a un bénéfice musculaire c’est évident mais pas que.
Le gros plus c’est sur la libido. Encore qu’il y a tellement de paramètres avec les e2 etc ...

Tout ça pour dire. Tu ressens quoi niveau libido ? Confiance ? Moral ? Nervosité ?

Quand tu reviens OFF tu te sentirais comme moi quand je ratais mes relances ?

Sensation d’être une merde. Envies négatives

Quand je vois ma femme pendant ces règles ça me fait cogiter sur ma façon de jouer avec mes hormones mdr
Je ne sais pas donner de réput non plus :0

Je l´ai explique un tout petit peu plus haut en details !
Bien sûr la libido est hors du commun,
mais le plus impressionnant chez nous est le changement d´ordre psycologique, je ne sais comment l’exprimer, mais Nous agissons/pensons de manière totalement contre nature.
J’ai tout expliqué deux/trois messages plus haut.

Quand j’arrete J’ai pas la sensation d’être une merde, du moins maintenant, avec l´habitude, mais je l’ai eu c’est vrai, au début.
Le plus difficile pour moi, c’est Surtout de gérer la fatigue. En OFF j’ai une période de fatigue extrême. Sûrement le temps que le corps s’habitue à nouveau à fonctionner de manière féminine.

Jouer avec les hormones est toujours un danger, ce n’est pas anodin
 

Brunesauvage

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Voilà j'ai capté la production ovarienne de testo repart avec le cycle,merci de ce point de precision.effectivement pas de relance,à moins qu'on ne saisisse pas tout et qu'il existe un médoc pour booster des ovaires recalcitrants,c'est bien possible qu'alors cela soit une pct pour vous,enfin "en théorie".
Tu dis "on produit si peu de testostérone" dans les fait comparativement à un homme c'est vrai néanmoins la carence est catastrophique,je pense que cela correspond à une carence en oestrogène chez l'homme car à l'inverse chez nous c'est l'oestrogène qui est trés peu produit,par contre il est vital pour la stabilité émotionelle et la fonction sexuelle..
Oui théoriquement il se pourrait mais booster l’activite Ovarienne est une très très très mauvaise idée chez la femme. Rien de mieux pour se retrouver avec un cancer.
D’ailleurs le risque qu’il faut prendre en compte chez la femme qui prend d’est AAS est le risque très important de kystes aux ovaires. Qui peuvent tendre au cancer également.
D’ou L’importance je le répète de surveiller ses taux, aller chez la gynécologue, faire des échographies, et ne pas jouer avec sa pilule et ses AAS !
Bien sûr il est très important d´avoir son taux de testostérone chez la femme, mais le nôtre ne retombe jamais à 0. Je me suis mal exprimée. Nous un taux à 0.03 est suffisant, même s´il est minimal, c’est ce que je voulais dire.
 

Cami

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Article très très très intéressant !! Tous les commentaire et retour aussi ! En tant que femme, c'est exactement le genre d'article et de commentaire que j'ai besoin de lire !! Merci Beaucoup !
 

Brunesauvage

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Article très très très intéressant !! Tous les commentaire et retour aussi ! En tant que femme, c'est exactement le genre d'article et de commentaire que j'ai besoin de lire !! Merci Beaucoup !
Je suis heureuse d´avoir pu aider une femme, c’était le but!
On trouve si peu d’articles à ce propos... :/
 
I

invité

trés interessant et assez complet !
merci pour ton partage qui profitera à de nombreuses pratiquantes !
j' en fait la copie à une amie !

"il faut également savoir que d'une femme à une autre, le système hormonal va réagir différemment à l'apport d'AAS."
tout à fait, et l' organisme dans sa globalité d' ailleurs, pas que le système hormonal . c' est LA seule vérité valable sur les AAS . comme toute drogue c' est toujours le point de rencontre entre une génétique et un produit, voilà pourquoi j' ai toujours conseillé à ceux qui voulaient vraiment prendre des AAS de commencer par les dosages les plus faibles efficaces pour tester leur tolérance aux produits . et de se mefier des dosages/conseils délirant que l' on trouve parfois sur le net .
 
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