Potassium

SonOfZeus

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L’intérêt nutritionnel du potassium



De nombreuses études cliniques ont prouvé que l’apport de potassium est synergique avec la diminution du sodium. Pour une même réduction sodée, la pression artérielle baisse nettement plus quand le rapport Na/K est favorable. Des études cliniques, comme par exemple la China Salt Substitute Study (CSSS) ont démontré à grande échelle l’efficacité et l’innocuité de l’utilisation d’un sel appauvri en sodium et enrichi en potassium (1-3). La Finlande utilise ce procédé depuis trente ans avec des bénéfices sanitaires spectaculaires (4).



Le potassium (K) est un minéral essentiel pour l’organisme, dont l’absorption procure des bénéfices de santé démontrés : diminution de la pression artérielle, diminution de la mortalité cardiovasculaire, protection de la fonction rénale, prévention des lithiases urinaires et de l’ostéoporose (5).

Or l’alimentation moderne, à base de produits transformés et appauvrie en fruits et légumes, a fait diminuer l’apport quotidien de potassium dans les pays développés autour de 70 mmol, c’est-à-dire un tiers de celui de nos ancêtres (6).

Un faible taux sanguin de potassium (kaliémie <4 mEq/L) entraîne une mortalité accrue chez les insuffisants cardiaques (7,8) ; il expose aussi au risque d’arythmie ventriculaire mortelle chez les coronariens et en cas d’hypertrophie ventriculaire gauche, accident qui peut être prévenu en augmentant les apports de potassium. Le déficit alimentaire en potassium est également correlé à l’intolérance au glucose, c’est-à-dire aux états prédiabétiques (5).

Il a été montré qu’une carence en potassium exacerbe a sensibilité au sel des hypertendus (9) ; et qu’à l’inverse une supplémentation en potassium atténue la rétention sodée induite par les minéralocortocoïdes (10).

On sait de longue date qu’un déficit en potassium contribue à l’hypertonie des artérioles et leur hyperréactivité aux hormones vaso-actives, ainsi qu’à la rétention sodée et la déperdition calcique (11,12).

L’étude NHANES I qui a permis de suivre 9805 hommes et femmes américains pendant 19 ans en moyenne a montré qu’une faible consommation de potassium est associée à un risque majoré d’accident vasculaire cérébral (13), ainsi qu’à une mortalité cardiovasculaire accrue (14).

Le lien entre les maladies cardiovasculaires et les apports de sodium et potassium a été étudié en détail chez 58,730 japonais suivis pendant plusieurs années. La mortalité par accident cérébrovasculaire ou cardiovasculaire s’est révélée proportionnelle à la consommation de sodium, alors qu’à l’inverse la mortalité d’origine cardiaque diminuait avec la consommation de potassium (15).

L’excrétion urinaire de potassium (kaliurèse) témoigne de la qualité de l’alimentation : un faible taux traduit une consommation insuffisante de fruits, légumes, céréales complètes, laitages écrémés, poisson et s’associe avec un indice de masse corporelle, une pression artérielle diastolique et une fréquence cardiaque augmentés (16).

Le suivi des études TOHP I et II a montré que le rapport sodium/potassium dans l’urine est encore plus fortement correlé au risque d’accident cardiovasculaire que le simple taux de sodium excrété, ce qui démontre l’effet synergique de renforcer les apports de potassium au cours de la réduction sodée (17).

Les preuves de l’action anti-hypertensive du potassium sont nombreuses. Les auteurs d’une étude anglaise utilisant pendant 3 semaines de toutes petites doses de KCl (24 mmol/j, soit environ 1,8 g) concluaient que l’enrichissement en potassium des aliments transformés serait une mesure de santé publique sûre et économique (18).

Des constats identique avaient été faits chez des Japonais prenant 64 mmol (environ 4,9 g) de KCl pendant 4 semaines (19) ; des afro-Américains prenant 80 mmol (environ 6,1 g) de KCl pendant 3 semaines (20) ; des américains âgés prenant 60 mmol (environ 4,7 g) de KCl pendant 4 semaines (21) ; des chinois prenant 60 mmol de KCl pendant 12 semaines (22).

Une autre étude chinoise a évalué l’impact de la consommation de sel enrichi en potassium sur la mortalité cardiovasculaire et les dépenses de santé chez les personnes âgées. Elle a impliqué cinq cuisines servant des repas à domicile à 1981 personnes âgées randomisées en deux groupes : l’un consommant le sel expérimental enrichi en potassium, l’autre servant de témoin, pendant en moyenne 31 mois. L’incidence de la mortalité cardiovasculaire a été de 13.1 pour 1000 dans le groupe expérimental et 20.5 pour 1000 dans le groupe témoin. Les sujets du groupe intervention ont vécu 0.3 à 0.9 ans plus vieux que ceux du groupe témoin et ont eu des dépenses liées aux maladies cardiovasculaires significativement inférieures. Cette étude montre qu’il existe à long terme un bénéfice chez les personnes âgées à substituer le sel standard par du sel enrichi en potassium (23).

Il s’ensuit que les toutes dernières recommandations de la Société américaine d’hypertension préconisent d’absorber quotidiennement au moins 4.7 g de potassium (environ 60 mmol) (24).

En 1999 déjà, les autorités de santé canadiennes avaient recommandé un apport quotidien d’au moins 60 mmol de potassium, niveau ayant démontré sa capacité à réduire le risque d’accident cérébrovasculaire (25).



Illustrations



Pourcentage d’adultes en deça des besoins nutritionnels moyens (6)

illustration graphique.jpg





Risques augmentés par un déficit chronique de potassium

D’après P. Meneton
•Hypertension artérielle
•Accidents vasculaires
•Insuffisance cardiaque
•Insuffisance rénale
•Perte urinaire de calcium, calculs rénaux
•Perte de masse osseuse et fractures



Taux cumulé de décès de causes cardiovasculaires, avec (trait pointillé) ou sans (trait plein) supplémentation en potassium. (24)

illustration 2.jpg



Rapport Na/K: une vieille histoire.

Méneton P. 11es Entretiens de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille. ImpactMedecine 04/11/2009

Le passage du mode de vie «chasseurs-cueilleurs» au mode de vie «moderne» s'est traduit par une inversion des consommations de Na et K. La réduction de l'apport en K est due à la diminution d'aliments bruts (fruits et légumes surtout, viandes) au profit de produits préparés ayant perdu tout ou partie de leurs sels organiques de potassium. Parallèlement, l'apport de Na a régulièrement augmenté du fait de son utilisation sous forme de NaCI pour la conservation des denrées.
Les chasseurs-cueilleurs actuels comme les Bushmen ont un apport journalier de 230 à 300 mmoles de K contre 70 à 80 en moyenne pour les «occidentaux». Celui de Na est de 1 à 10 mmoles pour les végétariens exclusifs jusqu'à 15 à 35 mmoles pour les plus grands carnivores comme les eskimos contre 130 à 175 en moyenne dans les pays industrialisés.
Le rapport Na/K a ainsi été multiplié selon les cas de 10 à 1 000 dans les pays industrialisés: de 0,01 à 0,1 chez les chasseurs cueilleurs, il est passé à des valeurs de 1 à 10; en effet, on observe de grandes variations individuelles, selon que le mode alimentaire est proche des modèles dits traditionnels (méditerranéen), ou qu'il contient surtout des produits transformés industriellement.
D'autres travaux ont montré que le rapport Na/K évolue dès l'arrêt du lait maternel, c'est-à-dire en moyenne dès 3 mois; à 1 an l'apport de Na est dix fois moins élevé chez les enfants (évidemment très rares!) nourris exclusivement au lait maternel. Tout ceci s'est produit sur une période très courte sur le plan de l'évolution, qui ne permet pas d'adaptations significatives.
Ceci favorise les maladies de civilisation, en particulier cardiovasculaires et rénales, mais aussi entre autres ostéoporose, car notre patrimoine génétique correspond toujours à un apport élevé de K et faible de Na. Tout ceci aussi justifie largement les recommandations de santé publique sur les fruits et légumes et le sel.



Références

1. China Salt Substitute Study Collaborative Group. Salt substitution: a low-cost strategy for blood pressure control among rural Chinese. A randomized, controlled trial. J Hypertens. 2007 Oct;25(10):2011-8.

2. Hu J, Jiang X, et al. Effects of salt substitute on pulse wave analysis among individuals at high cardiovascular risk in rural China: a randomized controlled trial. Hypertens Res. 2009 Apr;32(4):282-8.

3. Li N, Prescott J, et al ; China Salt Substitute Study Collaborative Group.The effects of a reduced-sodium, high-potassium salt substitute on food taste and acceptability in rural northern China. Br J Nutr. 2009 Apr;101(7):1088-93.

4. Pietinen P, Männistö S, et al. Nutrition policy in Finland.Public Health Nutr. 2010 Jun;13(6A):901-6.

5. He FJ, MacGregor GA. Beneficial effects of potassium on human health. Physiol Plant. 2008 Aug;133(4):725-35.

6. Meneton P, Lafay L, et al. Dietary sources and correlates of sodium and potassium intakes in the French general population. Eur J Clin Nutr. 2009 Oct;63(10):1169-75.

7. Alper AB, Campbell RC, et al. A propensity-matched study of low serum potassium and mortality in older adults with chronic heart failure. Int J Cardiol. 2009 Sep 11;137(1):1-8.

8. Ahmed A, Zannad F, et al.A propensity-matched study of the association of low serum potassium levels and mortality in chronic heart failure. Eur Heart J. 2007 Jun;28(11):1334-43.

9. Coruzzi P, Brambilla L, et al. Potassium depletion and salt sensitivity in essential hypertension. J Clin Endocrinol Metab. 2001 Jun;86(6):2857-62.

10. Coruzzi P, Gualerzi M, Parati G, Brambilla L, Brambilla V, Di Rienzo M, Novarini A. Potassium supplementation improves the natriuretic response to central volume expansion in primary aldosteronism. Metabolism. 2003 Dec;52(12):1597-600.

11. Krishna GG. Role of potassium in the pathogenesis of hypertension. Am J Med Sci. 1994 Feb;307 Suppl 1:S21-5.

12. Barri YM, Wingo CS. The effects of potassium depletion and supplementation on blood pressure: a clinical review. Am J Med Sci. 1997 Jul;314(1):37-40.

13. Bazzano LA, He J, et al. Dietary potassium intake and risk of stroke in US men and women: National Health and Nutrition Examination Survey I epidemiologic follow-up study. Stroke. 2001 Jul;32(7):1473-80.

14. Fang J, Madhavan S, et al. Serum potassium and cardiovascular mortality. J Gen Intern Med. 2000 Dec;15(12):885-90.

15. Umesawa M, Iso H, et al; JACC Study Group. Relations between dietary sodium and potassium intakes and mortality from cardiovascular disease: the Japan Collaborative Cohort Study for Evaluation of Cancer Risks. Am J Clin Nutr. 2008 Jul;88(1):195-202.

16. Mente A, Irvine EJ, et al. Urinary potassium is a clinically useful test to detect a poor quality diet. J Nutr. 2009 Apr;139(4):743-9.

17. Cook NR, Obarzanek E, et al; Trials of Hypertension Prevention Collaborative Research Group. Joint effects of sodium and potassium intake on subsequent cardiovascular disease: the Trials of Hypertension Prevention follow-up study. Arch Intern Med. 2009 Jan 12;169(1):32-40.

18. Naismith DJ, Braschi A. The effect of low-dose potassium supplementation on blood pressure in apparently healthy volunteers. Br J Nutr. 2003 Jul;90(1):53-60.

19. Kawano Y, Minami J, et al. Effects of potassium supplementation on office, home, and 24-h blood pressure in patients with essential hypertension. Am J Hypertens. 1998 Oct;11(10):1141-6.

20. Brancati FL, Appel LJ, et al. Effect of potassium supplementation on blood pressure in African Americans on a low-potassium diet. A randomized, double-blind, placebo-controlled trial. Arch Intern Med. 1996 Jan 8;156(1):61-7.

21. Fotherby MD, Potter JF. Potassium supplementation reduces clinic and ambulatory blood pressure in elderly hypertensive patients. J Hypertens. 1992 Nov;10(11):1403-8.

22. Gu D, He J, et al. Effect of potassium supplementation on blood pressure in Chinese: a randomized, placebo-controlled trial. J Hypertens. 2001 Jul;19(7):1325-31.

23. Chang HY, Hu YW, et al. Effect of potassium-enriched salt on cardiovascular mortality and medical expenses of elderly men. Am J Clin Nutr. 2006 Jun;83(6):1289-96.

24. Appel LJ et al; American Society of Hypertension Writing Group. ASH Position Paper: Dietary approaches to lower blood pressure. J Clin Hypertens (Greenwich). 2009 Jul;11(7):358-68.

25. Burgess E, Lewanczuk R, et al. Lifestyle modifications to prevent and control hypertension. 6. Recommendations on potassium, magnesium and calcium. Canadian Hypertension Society, Canadian Coalition for High Blood Pressure Prevention and Control, Laboratory Centre for Disease Control at Health Canada, Heart and Stroke Foundation of Canada. CMAJ. 1999 May 4;160(9 Suppl):S35-45.



La tolérance de l’organisme au potassium




D’après : Opinion of the scientific panel on dietetic products, nutrition and allergies on a request from the commission related to the tolerable upper intake level of potassium (request n° EFSA-Q-2003-018), adopted on 22 february 2005, in : European Food Safety Authority. Tolerable upper intake levels for vitamins and minerals. Scientific Committee on Food Scientific Panel on Dietetic Products, Nutrition and Allergies, February 2006:409-22.

Le potassium alimentaire est considéré comme dénué de risque d’effets indésirables jusqu’à une dose de 6g par jour pour un adulte en bonne santé. Aucun trouble n’a été décelé lors de supplémentations prolongées en chlorure de potassium de l’ordre de 3g/j en plus des apports alimentaires.

Les maladies rénales et certains médicaments qui compromettent l’excrétion urinaire du potassium exposent néanmoins au risque d’hyperkaliémie (Einhorn et al. 2009, Doorenbos & Vermeij 2003)

Quelques cas ont été rapportés qui soulignent le risque potentiel d’un abus de supplémentation en potassium chez des sujets prédisposés : insuffisants rénaux, personnes ayant une maladie métabolique ou un traitement qui perturbe l’équilibre électrolytique (diurétique épargneur de potassium, beta-bloquant, inhibiteur du système rénine-angiotensine, digitalique, anti-inflammatoire non stéroïdien), personnes sujettes à de fortes déshydratations - les plus vulnérables étant les diabétiques et les plus âgées, ainsi que les enfants en bas âge.

L’administration de chlorure de potassium (KCl) sous forme pharmaceutique a été parfois été associée à des effets gastro-intestinaux parmi lesquels ont été décrites des lésions muqueuses pouvant aller jusqu’à des ulcérations. Ces observations apparaissent liées à la formulation plutôt qu’à la dose et n’ont pas été faites avec d’autres sels de potassium (McMahon et al. 1984, MacMahon et al. 1982)

Les Européens consomment en moyenne 3 à 4 g par jour de potassium qui se trouve principalement dans les végétaux sous forme combinée avec des acides organiques. De nombreuses études ont montré que des apports accrus s’accompagnent d’une élévation de l’excrétion urinaire de sodium et d’une baisse tensionnelle. Cependant la plupart ne montrent pas de nette relation dose-effet. Les données disponibles ne permettent pas de fixer une dose maximale tolérable.
 

SonOfZeus

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Re : Potassium

Merci a vous :)

Je sais pas si quelqu'un se supplémente en potassium ? perso avant un entraintement cardio je mange toujours une banane une demi-heure avant, cela me réduit considérablement voir totalement les éventuelles crampes musculaires.
 

Socrate

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Re : Potassium

Merci a vous :)

Je sais pas si quelqu'un se supplémente en potassium ? perso avant un entraintement cardio je mange toujours une banane une demi-heure avant, cela me réduit considérablement voir totalement les éventuelles crampes musculaires.

Idem pour moi, y compris avant une séance muscu.
 

natleroy

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Re : Potassium

idem pour moi, potassium pour les crampes. Pour etre precis je prend de la taurine et du potassium pour les crampes
Bon poste!
 

doc

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Re : Potassium

moi aussi je mange toujours une banane pendant ma seance d'entrainement
 

ronualld

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vétéran
Re : Potassium

réput pour ton article.

moi également,je mange régulièrement ce fruit qu'est la banane,bien souvent je la mixte avec ma protéine ce qui à en plus pour avantage de donner un super gout à celle-ci.
 

kalimero

KALIKENOBI Neurotyping 2A secondaire fort 2B
Membre du Staff
supermodo
Re : Potassium

merci beaucoup pour ton article.
 

Smith

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Re : Potassium

tiens ca me fait penser a une interview de yohan blake ou il disait bouffer 16 bananes par jour pour le potassium.
 

SonOfZeus

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Re : Potassium

mdr rien que ca ?! Perso je viens de rentrer du training des jambes je sens que demain ca va etre tres tres difficile ... une banane avant une banane apres et poche de glace sur les cuisse en rentrant pour stopper les émoragies internes haha plus sérieusement j'avais lu sur un post de thor ou swat je sais plus que le froid pouvait aténuer l'apparition des courbatures.
 
I

invité

Re : Potassium

Une douche froide sur les jambes ça enlève une bonne partie des courbatures

Je ne le fais pas toujours parce que j' ai du mal avec l' eau froide , je supportes mieux l' eau très chaude , mais la froide , difficile,
Pourtant je dois dire que c' est très efficace sur moi et que les jours d' Après je vois la différence
 

Gef

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Re : Potassium

Par facilité, je prend du "Kaléorid" 750mg. Disponible en pharmacie.
 

SonOfZeus

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Re : Potassium

En revenant sur les poches de glaces j'ai été tres agreablement surpris tout comme swat j'y suis très réceptif en effet les courbatures musculaires sont considérablement réduites le lendemain.

Gef je ne connais pas du tout le kaléorid, j'en ai jamais entendus parler.
 

Gef

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Re : Potassium

Hello,

En fait c'est un complément de potassium qui se trouve en pharmacie (française), en Belgique je dois en commander ou passer la frontière. Il y a deux versions: 750mg et 1000 mg en vente libre bien évidemment.

Bien à toi.
 

SonOfZeus

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Re : Potassium

Hello,

En fait c'est un complément de potassium qui se trouve en pharmacie (française), en Belgique je dois en commander ou passer la frontière. Il y a deux versions: 750mg et 1000 mg en vente libre bien évidemment.

Bien à toi.


Merci pour ce complément d'information :) le potassium ne te suffit pas a lui tout seul ???
 

Anobody

BODYBUILDER'S APPRENTICE
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vétéran
Re : Potassium

Tu as le bicarbonnate de potassium tu en trouves facilement sur le net tu commences à 2 gr/jour et tu augmentes progressivement jusqu'à 10 gr/jour selon ta tolérance à espacer des prises de protéines et contrairement au dire tu peux le prendre pendant le training , au coucher matin ou après-midi ça ne change rien cf : http://www.julienvenesson.fr/a-quel-moment-prendre-son-bicarbonate-pour-la-performance/ .

Pour ce qui est de la glace j'ai retrouver un excellent article de Gundill a ce sujet dans le monde du muscle ou il conseil 3 à 6 h après la séance d'appliquer de la glace sur le muscle entraîné pendant 20 min environ cela aide à la récupération musculaire mais aussi tendineuse et articulaire.
 
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