Cytomel est une hormone thyroïdienne de synthèse qui existe uniquement en comprimés.
C’est l’une des hormones thyroïdiennesles plus puissantes et ses propriétés sont fortement anabolisantes.
Il existe 2 types d’hormones thyroïdiennes de synthèse.On distingue les hormones thyroïdiennes de type T4, comme par exemple Synthroïd, et celles de type T3, comme Cytomel.
C’est Cytomel qui est de loin la plus puissante des deux.
Les personnes qui l’ont essayé rapportent que les résultats obtenus avec Cytomel seraient 4 à 5 fois supérieurs à ceux de Synthroïd.
Le mode d’action de Cytomel est le suivant : il augmente la synthèse des protéines et donc produit un gain de masse musculaire.
De plus Cytomel est un excellent brûleur de graisses : il accélère l’utilisation des hydrates de carbone et la combustion des graisses en fabriquant plus d’ARN (Acide Ribonucléique) par élévation du métabolisme basal.
Cette propriété permet au culturiste d’utiliser Cytomel pendant les périodes de préparations de compétition afin d’obtenir une musculature plus striée.
En outre Cytomel est si efficace pour brûler les graisses que beaucoup de culturistes se permettent quelques écarts diététiques durant cette période, sachant que Cytomel détruira l’excédent de calories absorbées.
Enfin il faut préciser que Cytomel est utilisé de préférence en combinaison avec d’autres anabolisants.
Il est en effet surtout efficace pour démultiplier l’action des stéroïdes, mais il ne provoque pas de réelle prise de masse si on l’utilise seul.
Comme Cytomel augmente la masse de l’utilisateur uniquement par synthèse protéique, son utilisation doit toujours s’accompagner d’un régime particulièrement hyper-protéiné (encore plus qu’avec les autres produits) afin d’obtenir de meilleurs gains en masse musculaire.
Il est rare qu’une substance provoque autant d’effets recherchés simultanément, c’est pourquoi Cytomel est une hormone très appréciée dans le milieu du bodybuilding.
Hélas, un produit qui provoque de forts effets anabolisants provoque aussi généralement d’importants effets secondaires, et c’est le cas de Cytomel.
Comme c’est une hormone thyroïdienne, Cytomel peut provoquer une mise au repos de l’activité thyroïdienne, de la même manière qu’un cycle de testostérone inhibe la production de testostérone endogène.
On a longtemps cru que ce phénomène pouvait causer un dysfonctionnement irréversible de la thyroïde qui contraint le sujet à suivre un traitement à vie. L'on sait maintenant que cela est absolument faux et qu'aucun tel risque n'existe, même si la désinformation à ce sujet court toujours, notamment chez les médecins.
Un cycle de Cytomel provoque également divers symptômes et effets secondaires : palpitations du coeur, diarrhées, perte de poids, nausée, transpirations abondantes et maux de tête. La plupart du temps, les culturistes parviennent à atténuer voire éliminer ces effets en diminuant un peu la dose.
Enfin il faut savoir que Cytomel a tendance à inhiber les effets de certaines autres hormones qui sont utilisées en même temps que lui.
Quand un culturiste prend du Cytomel en même temps que de l’insuline ou de la phenformine, les effets de l’insuline ou de la phenformine s’en trouvent généralement diminués.
Les culturistes utilisent le plus souvent Cytomel avant une compétition en stack avec Clenbuterol, qui est lui aussi un redoutable « mangeur de graisses ».
Ce stack donne d’excellents résultats en ce qui concerne la combustion des graisses et la striation musculaire.
Étant donné les effets dont nous avons parlé précédemment, les culturistes doivent rester prudents et commencer à une faible dose, puis augmenter lentement.
Les utilisateurs avisés commencent généralement à 25 mcg (25 microgrammes soit 0,025 mg) par jour, puis augmentent tous les 5 ou 6 jours de 25 mcg, pour aller au grand maximum jusqu’à 100 mcg par jour, pris en une seule fois, 60 minutes avant le premier repas de la journée, seul moment où la T3 est absorbable par voie orale. L'on peut également, si le produit est disponible, injecter la T3, auquel cas on préférera des doses étalées au cours de la journée. Il faut ensuite prendre soin de diminuer la dose progressivement sur la fin du cycle afin d’éviter une interruption brutale, qui peut causer le "choc métabolique" aux divers effets désagréables, voire dangereux.
La durée d’un cycle de Cytomel peut être aussi longue qu'on le désire, puisque les dangers sont ceux de la surdose alors que ceux d'une cure trop longue sont maintenant connus comme étant nuls.
Le produit se présente en comprimés de 25 mcg, par flacons de 100.
Fiche technique : Cytome l.
Molécule : liothyronine natrium.
Voie : orale.
Catégorie : hormone thyroïdienne de synthèse. Effets positifs : combustion des graisses, prise de masse.
Effets négatifs : séquelles thyroïdiennes irréversibles, tremblements, perte de poids, etc...
Dose : 25 à 100 mcg/jour.
Force : *
Masse : **
Définition: ***
Danger : *
C’est l’une des hormones thyroïdiennesles plus puissantes et ses propriétés sont fortement anabolisantes.
Il existe 2 types d’hormones thyroïdiennes de synthèse.On distingue les hormones thyroïdiennes de type T4, comme par exemple Synthroïd, et celles de type T3, comme Cytomel.
C’est Cytomel qui est de loin la plus puissante des deux.
Les personnes qui l’ont essayé rapportent que les résultats obtenus avec Cytomel seraient 4 à 5 fois supérieurs à ceux de Synthroïd.
Le mode d’action de Cytomel est le suivant : il augmente la synthèse des protéines et donc produit un gain de masse musculaire.
De plus Cytomel est un excellent brûleur de graisses : il accélère l’utilisation des hydrates de carbone et la combustion des graisses en fabriquant plus d’ARN (Acide Ribonucléique) par élévation du métabolisme basal.
Cette propriété permet au culturiste d’utiliser Cytomel pendant les périodes de préparations de compétition afin d’obtenir une musculature plus striée.
En outre Cytomel est si efficace pour brûler les graisses que beaucoup de culturistes se permettent quelques écarts diététiques durant cette période, sachant que Cytomel détruira l’excédent de calories absorbées.
Enfin il faut préciser que Cytomel est utilisé de préférence en combinaison avec d’autres anabolisants.
Il est en effet surtout efficace pour démultiplier l’action des stéroïdes, mais il ne provoque pas de réelle prise de masse si on l’utilise seul.
Comme Cytomel augmente la masse de l’utilisateur uniquement par synthèse protéique, son utilisation doit toujours s’accompagner d’un régime particulièrement hyper-protéiné (encore plus qu’avec les autres produits) afin d’obtenir de meilleurs gains en masse musculaire.
Il est rare qu’une substance provoque autant d’effets recherchés simultanément, c’est pourquoi Cytomel est une hormone très appréciée dans le milieu du bodybuilding.
Hélas, un produit qui provoque de forts effets anabolisants provoque aussi généralement d’importants effets secondaires, et c’est le cas de Cytomel.
Comme c’est une hormone thyroïdienne, Cytomel peut provoquer une mise au repos de l’activité thyroïdienne, de la même manière qu’un cycle de testostérone inhibe la production de testostérone endogène.
On a longtemps cru que ce phénomène pouvait causer un dysfonctionnement irréversible de la thyroïde qui contraint le sujet à suivre un traitement à vie. L'on sait maintenant que cela est absolument faux et qu'aucun tel risque n'existe, même si la désinformation à ce sujet court toujours, notamment chez les médecins.
Un cycle de Cytomel provoque également divers symptômes et effets secondaires : palpitations du coeur, diarrhées, perte de poids, nausée, transpirations abondantes et maux de tête. La plupart du temps, les culturistes parviennent à atténuer voire éliminer ces effets en diminuant un peu la dose.
Enfin il faut savoir que Cytomel a tendance à inhiber les effets de certaines autres hormones qui sont utilisées en même temps que lui.
Quand un culturiste prend du Cytomel en même temps que de l’insuline ou de la phenformine, les effets de l’insuline ou de la phenformine s’en trouvent généralement diminués.
Les culturistes utilisent le plus souvent Cytomel avant une compétition en stack avec Clenbuterol, qui est lui aussi un redoutable « mangeur de graisses ».
Ce stack donne d’excellents résultats en ce qui concerne la combustion des graisses et la striation musculaire.
Étant donné les effets dont nous avons parlé précédemment, les culturistes doivent rester prudents et commencer à une faible dose, puis augmenter lentement.
Les utilisateurs avisés commencent généralement à 25 mcg (25 microgrammes soit 0,025 mg) par jour, puis augmentent tous les 5 ou 6 jours de 25 mcg, pour aller au grand maximum jusqu’à 100 mcg par jour, pris en une seule fois, 60 minutes avant le premier repas de la journée, seul moment où la T3 est absorbable par voie orale. L'on peut également, si le produit est disponible, injecter la T3, auquel cas on préférera des doses étalées au cours de la journée. Il faut ensuite prendre soin de diminuer la dose progressivement sur la fin du cycle afin d’éviter une interruption brutale, qui peut causer le "choc métabolique" aux divers effets désagréables, voire dangereux.
La durée d’un cycle de Cytomel peut être aussi longue qu'on le désire, puisque les dangers sont ceux de la surdose alors que ceux d'une cure trop longue sont maintenant connus comme étant nuls.
Le produit se présente en comprimés de 25 mcg, par flacons de 100.
Fiche technique : Cytome l.
Molécule : liothyronine natrium.
Voie : orale.
Catégorie : hormone thyroïdienne de synthèse. Effets positifs : combustion des graisses, prise de masse.
Effets négatifs : séquelles thyroïdiennes irréversibles, tremblements, perte de poids, etc...
Dose : 25 à 100 mcg/jour.
Force : *
Masse : **
Définition: ***
Danger : *