Lionel beyeke

bodysteel

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Re : Lionel beyeke

bien cette vidéo !
j aime bien son physique c est vrai que là un français c est du bon quand même


qui pour vraiment s imposer dans le circuit a besoin d un sponsor de poids ( us de tres nette preference !) et d habiter le sud de la californie !!!
 

Thor49

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Re : Lionel beyeke

plutôt que d'ouvrir un autre sujet on vérifie qu'il n'y en a pas déjà un d'ouvert:ranting:
 

bimo

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Re : Lionel beyeke

pas mal le beyeke !!! :hueeeeeeee!:
il progresse dans le bon sens, bonne harmonie et densité.
 

Thor49

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Re : Lionel beyeke

Il ne vous fait penser à personne???? niveau physique harmonieux et qualité musculaire et muscle bien rond il me rappelle Flex Wheeler
 

ricou

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Re : Lionel beyeke

Il ne vous fait penser à personne???? niveau physique harmonieux et qualité musculaire et muscle bien rond il me rappelle Flex Wheeler


+1 , sur beaucoup de forum body américain ont la même pensé , beaucoup de gens se rappelle FLex Wheeler en voyant Lionel.

il a sacrément bien progressé et il méritait largement la troisième place au NY Pro
 

SHOGUN

SAMOURAI DE LA FONTE
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Re : Lionel beyeke

+1 , sur beaucoup de forum body américain ont la même pensé , beaucoup de gens se rappelle FLex Wheeler en voyant Lionel.

il a sacrément bien progressé et il méritait largement la troisième place au NY Pro

Non, quatrième place
 

hypolipi

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Re : Lionel beyeke

:smoke:

astitrzqz.jpg
 

SHOGUN

SAMOURAI DE LA FONTE
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Re : Lionel beyeke

tu trouvais Richardson meilleur que Lionel Shogun?

Non, pas meilleur mais c'est un américain et Lionel est un petit frenchie nouveau sur le circuit pro donc sa place .
Il aurait du être mieux classé c'est sur.
 

ricou

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Re : Lionel beyeke

Non, pas meilleur mais c'est un américain et Lionel est un petit frenchie nouveau sur le circuit pro donc sa place .
Il aurait du être mieux classé c'est sur.

:080402cool_prv: on a le même avis , mais c'est sur qu'il a marqué des points auprès des juges après cette compet, il commence à faire son chemin au USA.
 

Brontosaurus

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Re : Lionel beyeke

Non, pas meilleur mais c'est un américain et Lionel est un petit frenchie nouveau sur le circuit pro donc sa place .
Il aurait du être mieux classé c'est sur.

C'est clair que cela à jouer mais il à je pense bien capté que ce ne serait pas porteur de rester en France,dans une interview à Dave Palumbo il confirme qu'il va s'installer aux states cette année...c'est le buisness loin des yeux..loin des $


Je met le liens ici ou il evoque son installation

http://www.rxmuscle.com/videos/c-in...lacing-4th-at-the-2011-ifbb-new-york-pro.html
 

fight-or-die

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Re : Lionel beyeke

je pense qu'il est dans l'optique de la masse

Et c'est bien dommage si tel est le cas, cette foutu course a la masse...
Il a un physique fait pour miser sur l’esthétique, sur les proportions plus que sur la masse qui viendra avec le temps de toute façon...c'est bien sur que mon avis.
 

tomplatzstyle

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Re : Lionel beyeke

j'avais limpression que personne été en super condition au NY pro.
donc pas la peine de tros forcé sur la seche .
il est qualifier pour Olympia et sais se qui compte
 

zeydoo

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Re : Lionel beyeke

oui qualifié pour olympia souhaitont lu un top 10 sa serai bien un représentant français de plus
 

kalimero

KALIKENOBI Neurotyping 2A secondaire fort 2B
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Re : Lionel beyeke

je ne pense pas qu'il sera dans le top 10 , mais il a tres beau physique et un francais a ce niveau c'est bien , nous avons ces derniers temps de bons BB francais.
 

HADES

MAITRE DES ENFERS
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Re : Lionel beyeke

Pour actualiser un petit peu le post voici un petit article que j'ai trouvé sur Flexonline !

(source : http://www.flexonline.fr/articles-flex/article/2-articles-flex/173/lionel-beyeke-lrsquoalchimiste)


Demandez à quiconque de vous donner une définition du culturisme et, souvent, on vous répondra que c’est un sport où l’on fait gonfler ses muscles. Les amoureux de la fonte préfèreront entendre dire que c’est un art vivant où l’on sculpte son corps afin d’obtenir un résultat visuel proche de la perfection. Oui, le bodybuilding est une alchimie, une fusion parfaitement homogène de composants tous difficiles à trouver, une recette qui doit inévitablement réunir volume, définition et harmonie. L’équilibre entre ces trois éléments, chaque bodybuilder passera sa vie à le chercher! Pourtant, il nous arrive, à grands intervalles irréguliers, de faire la rencontre d’athlètes qui disposent d’emblée de cet équilibre que beaucoup ne trouveront jamais. Pour ces chanceux qui font cohabiter naturellement masse et harmonie, l’essentiel du travail consistera à conserver leurs proportions avantageusement distribuées à mesure qu’ils progresseront. Oui, ils existent vraiment et nous en avons même un, chez nous.

Nous l’avons rencontré lors de sa saison dédiée à la progression, au terme d’une prise de poids visiblement réussie. En ce jour de novembre, Lionel Beyeké affiche 130 kg sur la balance et se révèle sans fausse modestie, avec la pudeur du champion et l’assurance du compétiteur qui connaît le succès. Si la renommée le précède et le suit, c’est parce qu’il a su la construire à coups de résultats sportifs, ne choisissant jamais ses compétitions au hasard. Son statut pro, obtenu après un passage assez bref chez les amateurs, Lionel a immédiatement su le gérer: sans précipitation, il choisit ses concours, qui doivent être les bons. Il est là pour “la gagne” et ne cache pas ses ambitions qui se réaliseront assurément. Déjà, l’élite du bodybuilding américain lui a déroulé le tapis rouge: de Charles Glass à Hany Rambod, tous s’enorgueillissent d’avoir participé à la progression de cette jeune recrue. Pourtant, jusqu’à l’obtention de son statut de professionnel, Lionel s’est construit tout seul.

INTERVIEW :

FLEX: Sixième pour une première participation chez les pros, en open, ce n’est pas donné à tout le monde. Tu prévois quoi dans un avenir proche?

LIONEL BEYEKÉ: Je prévoyais au départ de concourir au Flex Pro, mais juste après, il y a l’Arnold Classic et certains n’hésiteront pas à venir s’échauffer au Flex Pro. Il risque donc d’y avoir du très lourd. Comme je ne suis pas encore reconnu chez les pros, une erreur dans la sélection de mes concours pourrait me coûter cher. Je n’ai pas d’autre choix que de cartonner, d’être beaucoup plus en forme que les autres si je veux faire ma place. C’est un peu la règle du jeu chez les pros. Quand on ne te connaît pas, il faut être vraiment au-dessus du lot pour être certain de ne pas passer à la trappe. Cette année, j’ai décidé de me laisser le temps de progresser et j’ai fait une belle prise de poids. Pour mon prochain concours, qui sera très certainement le New York Pro, je devrais peser environ 115 kg, soit 10 kg de plus que lors de ma dernière prestation, avec une définition encore plus poussée. D’un point de vue purement professionnel, je prévois d’ouvrir une salle parisienne exclusivement dédiée aux bodybuilders.

FLEX: Quand tu as commencé à t’entraîner, tu pensais déjà à un avenir dans le bodybuilding?

LIONEL BEYEKÉ: Pas du tout. Quand j’ai mis les pieds pour la première fois dans une salle de musculation à l’âge de dix neuf ans, ce n’était pas pour devenir bodybuilder. J’étais très maigre et mes clavicules sortaient littéralement de mes épaules! J’étais à l’époque plutôt féru d’arts martiaux que j’ai pratiqués pendant six ans: trois années en full contact puis trois années en karaté.

FLEX: Comment t’es venue l’envie de faire de la compétition?

LIONEL BEYEKÉ: Six mois après avoir commencé à m’entraîner, j’avais atteint le développement musculaire des adhérents qui s’entraînaient déjà depuis plusieurs années. Lorsque je suis arrivé en France il y a dix ans, certains me demandaient pourquoi je ne faisais pas de compétition tandis que d’autres me disaient que jamais je n’y arriverais. J’ai finalement disputé et gagné une compétition organisée par Serge Nubret, qui s’entraînait à l’époque dans la même salle que moi. Au passage, je tiens à préciser que Serge n’a jamais été mon entraîneur ni mon préparateur.

FLEX: Quel est le type d’entraînement qui te réussit le mieux?

LIONEL BEYEKÉ: Je m’entraîne en double split (deux fois par jour). J’aime m’entraîner de façon standard, surtout en pyramidal, avec du matériel basique: des barres et des haltères, sans jamais oublier le travail cardio-vasculaire. Hors-saison, je fais cinq séances de cardio de trente minutes par semaine. Cela peut paraître énorme, mais je pèse 130 kg et mon cœur a besoin d’entraînement lui aussi. En aucun cas le cardio n’entravera votre prise de masse, mais pour les personnes plus légères que moi, trois séances de trente minutes par semaine sont suffisantes. Quand je suis en préparation, j’intègre un peu plus de variété dans mes entraînements: j’utilise un peu plus de machines et pratique davantage d’exercices 
spécifiques et de méthodes d’intensification.

FLEX: Combien de calories consommes-tu quotidiennement lors-que tu es en prise de masse?

LIONEL BEYEKÉ: Je consomme un peu plus de cinq mille calories par jour: un kilo de viande rouge, un kilo de viande blanche, huit cents grammes de glucides et une bonne quantité d’acides gras essentiels. Mes hydrates de carbone sont répartis sur toute la journée, sauf au dîner. Avant l’entraînement, j’aime beaucoup les boosters de NO que je prends avec des sucres rapides.

Après l’entraînement, je fais un mélange de BCAA, glutamine et de créatine, toujours avec des sucres rapides. Je prends aussi cette collation post entraînement après ma deuxième séance.

FLEX: En 2009, tu t’es classé deuxième à l’Arnold Classic amateur, juste derrière Roelly Winklaar, qui a remporté le N.Y Pro en 2010. Ça t’inspire quoi?

LIONEL BEYEKÉ: Cela me motive et exacerbe ma rage de vaincre, car cela veut dire que je peux me faire un nom dans les années à venir. Comme moi, Roelly est un mec qui est doué et qui a du potentiel. Mais rien n’est jamais acquis et il n’y a pas de magie. Pour réussir, il faut toujours bosser dur.

FLEX: Tu aimerais t’installer aux États-Unis?

LIONEL BEYEKÉ: J’aime les États-Unis, mais j’aime aussi la France. Alors, je fais la navette entre les deux et je n’y vois aucun inconvénient.

FLEX: Ton succès t’a-t-il rapproché ou, au contraire, éloigné des autres culturistes français?

LIONEL BEYEKÉ: Cela m’a rapproché d’eux, car je suis un exemple pour eux et mon parcours les inspire. Mais pour les mêmes raisons, je me suis éloigné d’eux car l’écart se creuse à mesure que je progresse. Personne ne peut être aimé de tout le monde… même Jésus Christ n’y est pas parvenu! Heureusement, je sais m’adapter à tous les milieux et aux gens qui me rencontrent car au fond, le plus important ce n’est pas d’être populaire, mais de réussir sa vie. J’encourage les culturistes français, quel que soit leur niveau, à aller de l’avant et à partager leurs connaissances, comme j’aime le faire moi-même. Je trouve vraiment dommage qu’il n’y ait pas de partage. Regarder les gens de haut parce qu’on a un super physique, c’est aller à l’encontre des valeurs propres au bodybuilding.

FLEX: Que penses-tu de la victoire de Jay Cutler lors du dernier Olympia ?

LIONEL BEYEKÉ: Jay est un mec sympathique que j’apprécie beaucoup. Être M. Olympia, c’est tout un ensemble. Jay est l’un des rares pros à se comporter comme un vrai professionnel et il est pour moi la référence dans ce sport.

FLEX: Le bodybuilding français est riche de compétiteurs talentueux et variés. Malgré cela, cette discipline n’a pas, en France, le succès qu’on attendrait. Selon toi, pourquoi ?

LIONEL BEYEKÉ: Oui, on a un tas de bons athlètes qui peuvent se démarquer et faire une carrière, mais tous manquent de structures et de vraies salles pour s’entraîner. C’est un réel handicap pour nous. Le matériel de musculation, c’est notre outil de travail et une salle incomplète ne peut mener qu’à des physiques incomplets. Aussi, j’ai remarqué que beaucoup de compétiteurs français tiennent à rester secs toute l’année. La restriction permanente, c’est l’assurance de ne jamais progresser, alors un conseil: hors saison, mangez ! Ce qui compte, c’est ce à quoi vous ressemblerez sur scène le jour de la compétition. Pour finir, il y a aussi un point que je tiens tout particulièrement à soulever: je me suis rendu compte qu’il y a beaucoup de préparateurs physiques mythomanes qui prennent les athlètes pour des cobayes. Soyez vigilants et ne faites pas confiance à n’importe qui.

FLEX: Des personnes à remercier ?

LIONEL BEYEKÉ: Je tiens à remercier Eric Favre pour son soutien, ainsi que ma fiancée et toute ma famille.

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